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ASTROLOGICA

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Des enjeux épistémologiques en astrologie

par Jacques Halbronn

    Nous voudrions dans cette étude répondre avec quelque retard - treize ans ! - à la communication que donna en mars 1990 Catherine Pellegrini, sous le titre “Pour une épistémologie de l’astrologie”, lors des premières Journées de l’ARRC.1 En effet, à cette occasion, nos travaux2 avaient été mentionnés et discutés, d’une façon à vrai dire assez condescendante par cette agrégée de l’Université. En réalité, nous avions répliqué le jour même lors de la table ronde à laquelle nous avions été aimablement invité, du fait même de la communication de C. Pellegrini qui nous avait interpellé.3 On peut être, toutefois, honoré d’avoir été le seul chercheur en astrologie cité par C. Pellegrini, hormis Gérard Simon, auteur de Kepler, astrologue, astronome (Paris, Gallimard, 1979) qui n’appartient pas au milieu astrologique. A titre de comparaison, on lira le commentaire de Suzel Fuzeau Braesch, en 1992, sur “La Pensée Astrologique”4ou ceux de Christian Gourdain, sur nos Mathématiques Divinatoires, dans sa thèse, Le Tao de la divination, le Dieu structural et la théologie de l’Unification (Université de Nice, 1989) Peut -être à l’époque, aurions-nous argumenté différemment et c’est aussi l’occasion d’apprécier le chemin parcouru en près de 20 ans. Profitons-en pour noter que la série des Actes des Congrès organisés et publiés artisanalement par Y. Lenoble constitue un corpus tout à fait significatif pour le chercheur en ce qui concerne la vie intellectuelle des astrologues au cours de la dernière décennie du XXe siècle, encore que certaines voix, telle la nôtre, n’y aient guère eu accès.

   C. Pellegrini insiste sur la nécessité de la cohérence : “C’est en travaillant sur la cohérence du système, concluait-elle, qu’on sera le plus à même d’en tester l’applicabilité, car une théorie mal construite ne permettra la prédictibilité que de manière aléatoire” (p.76). En ce qui nous concerne, nous avions organisé, en 1986, à Amiens, un Colloque intitulé “Cohérence de l’astrologie”, mais nous avons pris, depuis, quelque distance par rapport à cet impératif qui reste cher à de nombreux chercheurs. Il ne suffit pas - pensons-nous aujourd’hui, que telle notion soit cohérente par rapport à l’ensemble du savoir astrologique mais encore faudrait-il qu’il lui soit nécessaire. Lors d’un entretien avec J. P. Nicola, lors du Salon de l’astrologue 2003, au Palais des Congrès, à Paris, nous lui demandâmes s’il pouvait démontrer la nécessité du zodiaque pour son système. Il reconnut que son zodiaque dit réflexologique n’était pas une condition nécessaire, stricto sensu, pour baliser la progression des planètes, ce qui était d’ailleurs déjà la position de Kepler, abordé par C. Pellegrini.

   Cela dit, nous voudrions quand même répondre aux observations quelque peu désobligeantes de C. Pellegrini concernant notre étude de l’Homme Zodiaque qui lui avait apparemment semblé bouffonne :

   “J. Halbronn, rivalisant un peu naïvement avec la tradition, décide, en véritable Prométhée, de la cohérence, de reconstruire l’Homme zodiacal (sic) utilisé en astrologie médicale. Le projet part d’un bon sentiment : redonner sa cohérence originelle à un système dévoyé. Ainsi s’indigne le piètre herméneute , comment attribuer au noble signe des Poissons cette partie servile de notre corps que sont les pieds ? C’est qu’il y a eu inversion ! Dès lors, une nouvelle lecture est proposée : la “véritable” corrélation entre les signes et les parties du corps serait la suivante : Bélier / pieds, Taureau / jambes, Lion / sexe, Scorpion / cœur et Poissons / tête. Le sens dessus-dessous zodiacal. Je ne serai pas polémique, mais cette manière de prétendre reconstruire une cohérence en usant d’arguments aussi spécieux que malhabiles (merci !) n’est peut-être pas la bonne manière de traiter de la cohérence du système astrologique. Si une cohérence peut être observée ou construite dans la sémantique astrologique, ce ne peut être à ce niveau figuratif de surface mais en profondeur, au niveau des catégories primordiales et de leur circulation” (p. 71)

   Reconnaissons que nous considérons, en effet, que ceux qui élaborèrent tel ou tel pan du savoir astrologique étaient assez “naïfs” et que ce serait un peu facile de rechercher des significations “profondes”, au prix d’une herméneutique sophistiquée. Il y a en fait là deux approches : soit ce sont les hommes d’autrefois qui ont réalisé de tels dispositifs, comme nous le pensons, soit il s’agirait d’une connaissance transcendantale à laquelle ils auraient eu accès, ce que semble croire C. Pellegrini. Nous serions plutôt dans la ligne de Bouché-Leclercq5 et des anti-astrologues du XVIIe siècle qui pensaient qu’il suffisait parfois d’expliciter les dits dispositifs pour en faire ressortir le caractère dérisoire.6 Au demeurant, l’idée d’une inversion de l’Homme Zodiaque n’est pas si absurde que cela en a l’air, car on observe également une inversion en ce qui concerne la numérotation des maisons, la mort, par exemple, correspondant à une maison (VIII) située au dessus et non, comme il se devrait, en dessous de l’horizon.7

   D’ailleurs, lors de la table ronde qui suivit l’exposé de C. Pellegrini (Actes, p. 91), nous résumions ainsi notre position : “Quand on essaie de reconstituer le raisonnement astrologique, il ne faut pas forcément chercher des explications compliquées. Il faut plus essayer de se mettre dans la peau de ceux qui ont construit ces systèmes et de tenir compte de l’époque où ils les ont construits. Je reproche volontiers à bon nombre d’astrologues de leur prêter des intentions symboliques extrêmement compliquées alors que ce n’était qu’une mise en forme d’un certain nombre de notions relativement élémentaires. Je voudrais insister sur cette question de l’élaboration de l’astrologie. Je crois que l’on peut dire que les astres sont pour l’astrologie des signifiants, c’est-à-dire que ce sont des signes qui sont censés correspondre à quelque chose et il faut trouver la chose à laquelle correspondent ces signes. C’est-à-dire que, en définitive, on a d’abord le schéma, d’abord les mots et qu’ensuite il faut trouver à quoi ces mots s’appliquent. Souvent, on renverse le problème, on part du signifié pour aller vers le signifiant alors que dans le cas de l’astrologie, il faut partir des signes. Il y a des signaux mais de quoi ces signaux nous parlent-ils ? On va chercher à quoi ces signaux renvoient au niveau du réel.” Ne nous trompons pas : nous exprimions ainsi le mode d’élaboration de l’astrologie en tant que culture en formation et non celui d’une astrologie en tant que fait anthropologique se perpétuant.

   Comme nous le disions plus haut, il nous semble essentiel qu’une notion appartenant au savoir astrologique soit démontrée comme nécessaire, car nous pensons que non seulement les fondateurs de l’astrologie étaient “naïfs” mais qu’en outre ils préféraient - comme ils étaient frustres, en plus, les pauvres ! - faire simple plutôt que compliqué et ne s’embarrassaient pas de développements superflus : pourquoi diviser en douze quand on n’a besoin que d’une division en deux ? Pourquoi utiliser plus de planètes que ce dont on a besoin ? Là encore, deux conceptions s’opposent : celle qui fait de l’astrologie, comme nous le pensons, un artefact servant des objectifs minimaux de structuration de l’espace et du temps sociaux et celle qui considère que tout ce qui fait partie du système solaire revêt ipso facto un sens au niveau astrologique, ce qui est notamment le cas de J. P. Nicola et de tant d’autres.

   Il ne s’agit nullement, en ce qui nous concerne, de justifier l’ensemble du savoir astrologique en y plaquant une certaine cohérence et ce n’est pas parce que la théorie des domiciles, par exemple, est cohérente ou peut le devenir, au prix de quelques ajustements, qu’elle est nécessaire au savoir astrologique. Et précisons quand même que lorsque nous inversons l’Homme Zodiaque, nous n’avons jamais pensé que cela marcherait mieux dans un sens que dans l’autre ! Une telle vision des choses, nous l’avons probablement eu, il y a une bonne trentaine d’années, mais c’est de l’histoire ancienne et nous avons depuis viré notre cuti.

   Puis, C. Pellegrini aborde un autre critère, celui de la vérifiabilité et à nouveau de nous citer à propos de l’interprétation des travaux de Gauquelin (1929 - 1991) : “L’on peut voir quelqu’un comme Jacques Halbronn proposer une interprétation de l’astrologie comme “une entité hybride qui, d’un côté relèverait d’une psychologie astrale fondée sur des relations quasi-totémiques entre une communauté et un astre et de l’autre sur la construction artificielle et arbitraire d’un système plus ou moins codé” “ Selon Jacques Halbronn, poursuit, C. Pellegrini, les travaux de M. Gauquelin tendraient à montrer la relation astro-biologique qui unit l’homme aux astres à l’origine (...) Finalement, J. Halbronn oppose à l’incohérence du système astrologique que l’évolution historique a contribué à former tout comme à déformer, la simplicité monoplanétaire totémique que Gauquelin met en évidence (...) En fait, Halbronn ne fait que systématiser l’idée présente déjà chez Choisnard de l’impossibilité de contrôler le fait du système astrologique dans son ensemble (…) J. Halbronn simplifie singulièrement la question en parlant d’amalgame hétéroclite dont une partie seule peut prétendre au nom de science.“

   En fait, C. Pellegrini se rapproche sensiblement des positions défendues par Suzel Fuzeau Braesch et que nous avons notamment réfutées dans un texte paru à l’époque dans la revue de Françoise Gauquelin, Astro-psychological problems. C. Pellegrini considère en effet que le thème astral est un tout qu’il faut appréhender comme tel alors que nous avons depuis trente ans dénoncé un tel credo8 : lisons la quatrième de couverture “Jacques Halbronn (nous avions alors 28 ans et notre manuscrit avait été préféré par l’éditeur à celui d’André Barbault) entend condamner une certaine astrologie qui a nom “horoscopie” et qui est axée sur le seul moment aléatoire de la naissance.”

   Si nous comprenons bien C. Pellegrini, l’astrologie serait “une science du sujet” (p. 74), une projection du psychisme humain et vaudrait en tant que telle, par tout ce qui s’est focalisé sur elle, au travers des âges, ce qui annonce, nous semble-t-il, peu ou prou, les positions d’un Patrice Guinard, auteur en 1993 d’une thèse intitulée L’astrologie, fondements, logique et perspectives, Université Paris I.9 Autrement dit, tout ce qui est, collectivement, l’expression du sujet le révèlerait à lui-même et serait ipso facto pertinent et prégnant.

   Notre position est différente : pour nous, le processus projectif est avant tout fonctionnel et passe par une stratégie d’instrumentalisation correspondant aux besoins de la Cité, ni plus ni moins. On pourrait parler d’une projection “fermée”, dans le temps et dans l’espace (limitation du nombre d’astres, limitation chronologique de la phase fondatrice) par rapport à l’autre thèse, celle de C. Pellegrini, qui serait celle d’une projection “ouverte” (prise en compte de tout ce que l’astronomie dévoile diachroniquement et notamment des planètes transsaturniennes). En tout état de cause, la thèse projective, de type anthropocentrique, dans ses deux registres, nous paraît devoir se substituer à une thèse influentielle qui ne passerait pas par le prisme de la représentation humaine. En ce sens, on peut se demander - et nous invitons les historiens de l’astrologie contemporaine à se pencher sur ce point - si cette thèse d’une projection “ouverte”, telle qu’elle est soutenue au début des années 1990, n’est pas née d’une réaction à l’exposé en 1986 de notre thèse de la projection “fermée”.10 Rappelons ce qu’écrivait, en 1992, Suzel Fuzeau-Braesch11 également présente au Congrès de mars 1990 et qui prit la parole à la suite de C. Pellegrini :

   “Pour (Halbronn), “c’est parce qu’il y a des hommes assumant une activité désignée, encodée comme martienne qu’une planète s’appelle Mars et revêt une signification pour ceux qui sont martiens. Ce ne sont pas les astres qui conditionnent notre système solaire mais notre système social qui se reflète dans les astres.” Comment cet auteur voit-il l’instauration d’un tel système qui n’accorde donc aucun pouvoir aux planètes ?” Il le dit : “Avant que la relation - telle celle qui lie l’accouchement à un certain état du ciel en accord avec le nouveau-né - ait pu fonctionner, il a fallu qu’il y ait une phase durant laquelle l’homme ait en quelque sorte “rêvé” ce lien. En d’autres termes, il a fallu que l’homme ait établi un certain ordre social impliquant une certaine relation volontaire au ciel.”

   Il semble d’ailleurs que nos travaux dans ce sens, aient précédé, comme le note S. Fuzeau-Braesch, ceux de A. Müller, professeur de psychologie à l’université de Sarre en Allemagne.12 On pourrait dire qu’avant qu’un processus ne devienne inconscient, il est conscient et que ce n’est que progressivement qu’il devient automatique, encore faut-il pour cela que la projection s’effectue sur des corps visibles, aisément repérables par tous, ce qui exclue les astres invisibles et les repères purement mathématiques exigeant une certaine sophistication des calculs, ce qui n’est pas le cas pour les tenants de la projection “ouverte”.

   Laissons la parole à Jean-Paul Citron13 dans son compte-rendu de Clefs pour l’Astrologie : “Jacques Halbronn est convaincu de la validité de l’uniplanétarisme, c’est-à-dire du fait que l’individu n’est marqué fondamentalement que par une seule planète (...) ce qui lui permet de critiquer l’horoscope moderne qui fait de chacun de nous “un arlequin”, en tenant compte de nombreux facteurs souvent contradictoires pour expliquer notre personnalité.” En effet, l’astrologie n’est pas, selon nous, faite pour nous parler de l’individu, avec ses problématiques existentielles spécifiques, mais de sa fonction sociale. Une telle approche s’explique peut-être par notre formation initiale de juriste et non de psychologue.

   Ce que C. Pellegrini ne semble pas avoir compris - si sa position n’a pas changé depuis - c’est que notre but est de retrouver une pensée astrologique originelle, ontologique, au travers de ce qui nous est parvenu. Elle est probablement sceptique quant à la possibilité d’y parvenir et s’imagine qu’il vaut mieux supposer que l’astrologie est ce qu’elle est devenue, faisant ainsi abstraction des corruptions, des pertes qu’elle a pu subir et qui ne sont pas compensées par les additions successives : transsaturniennes contre étoiles fixes, par exemple. Le paradoxe, c’est que l’astrologue doit être capable, en archéologue, d’explorer, de deviner, de restituer le passé pour construire l’avenir. S’il n’a pas ce talent, il est condamné à ce qu’il faut bien appeler un certain empirisme cache misère.

   En fait, pour C. Pellegrini, la priorité serait dans la recherche d’une “cohérence interne” d’un “modèle sémiologique” dont il conviendrait ensuite de “vérifier” le bien fondé anthropologique : “Il me semble, conclut-elle, que l’on peut sortir du mythe astrologique pour étudier le modèle, en faisant apparaître clairement les hypothèses et les procédures, en tirer des concepts que l’on essaiera de formaliser pour mieux vérifier leur adéquation à l’objet.” (p. 76) L’astrologie émanerait de l’Homme, se déroulant au travers de son Histoire, donc en fournirait les clefs. Si nous sommes initialement de formation juridique, nous sommes également fortement marqués par une autre formation, linguistique, les deux processus nous semblant d’ailleurs assez proches. Nous accordons une grande importance à la notion d’arbitraire du signe, ce qui implique un hiatus avec le réel; nous pensons que l’astrologie, expression du génie humain, a structuré l’Humanité de façon arbitraire, dans une sorte de big bang, et que si cet arbitraire a certes structuré à son tour l’homme, à un moment donné, tout ce qui est astrologique n’est pas ipso facto structurant, dès lors que les sociétés ne sont plus marquées culturellement, sinon à la marge, par leur rapport au cosmos. On voit donc mal comment on pourrait chercher à vérifier un corpus que l’on aurait rendu cohérent mais qui n’en serait pas moins devenu éminemment syncrétique, sans précisément avoir préalablement fait la part de ce qui s’est surajouté à la structure fondatrice, seule vouée à la vérifiabilité. Au fond, C. Pellegrini parle d’une cohérence synchronique là où nous parlons, en fait, d’une cohérence diachronique.

   Le théme astral, cher à C. Pellegrini, constitue selon nous, une dérive, qu’elle soit divinatoire ou simplement “humaniste” (Rudhyar), de la pensée astrologique qu’il faudra tôt ou tard évacuer et élaguer - nous avons montré ailleurs14 qu’il faisait plus écho aux attentes des femmes que des hommes. Nous pensons que seule une approche statistique, même au niveau prévisionnel, sur la base d’une typologie événementielle anthropologiquement pertinente est épistémologiquement susceptible de conduire à une vérifiabilité, à une falsifiabilité.

   Nous terminerons par une observation qui vaut ce qu’elle vaut, à savoir que C. Pellegrini rendait ainsi hommage en 1990 à notre travail de réflexion, quand bien même cela serait pour le réfuter ou s’en démarquer, lequel faisait pendant à nos activités d’animateur confirmé du milieu astrologique et la question se pose : comment un auteur adoptant des positions aussi iconoclastes, à contre-courant, à l’égard du savoir astrologique dominant a-t-il pu être aussi longtemps accepté comme meneur de jeu privilégié du milieu astrologique ? Cela aussi fait partie d’une certaine réalité à prendre en compte.

Jacques Halbronn
Paris, le 2 avril 2003

Bibliographie

    - Catherine Pellegrini, “Pour une épistémologie de l’astrologie”, Actes des Premières Journées de l’ARRC, Astrologie et Communication, 1990, pp. 69 et seq.

    - Jacques Lebreton, “Esquisse d’une épistémologie de l’astrologie, Méthodes de l’Astrologie”, Grande Conjonction, revue d’astrologie du MAU, n°3, mars 1977, pp. 6 et seq.

    - Alain Bontemps, “Epistémologie et astrologie”, Actes du Congrès MAU - Lierre & Coudrier, de Toulouse,1982, Bruxelles, Astro Group Editions, 1983, pp. 5 et seq.

    - P. Guinard, Manifeste, Site du Cura.free.fr (Centre Universitaire pour la Recherche en Astrologie).

    - J. Halbronn, “Les historiens de l’astrologie, en quête de modèle”, Site du Cura.free.fr

    - J. Halbronn et G. Leclercq, Postfaces aux Personnalités planétaires de M. Gauquelin, Paris, Trédaniel, 1992

    - J. Halbronn, “Entretien avec M. Gauquelin”, in revue Le Ciel Etoilé, n°6-7, Bruxelles, Ed. Constellation, 1987.

    - J. Halbronn, Mathématiques Divinatoires, Paris, Trédaniel, 1983

    - J. Halbronn, “La pensée astrologique“, in Histoire de l’astrologie, Paris, Artefact; 1986

    - J. Halbronn, P. Guinard et al., Actes du Colloque MAU - CURA, “Frontières de l’astrologie”, Site Cura.free.fr.

    - J. Halbronn, “Comparaison du Tétrabible attribué à Ptolémée et de la Mathesus de Firmicus Maternus” in Homo Mathematicus, Actas del Congreso Internacional sobre Astrologos griegos y romanos, Benalmadena, octobre 2001, Dir. A. Perez Jimenez & R. Caballero, Malaga, Ed. Charta Antiqua, 2002.

    - J. Halbronn et al., “Créativité de l’erreur : pour une errologie“ in Eloges, Paris, Ed. Lierre & Coudrier, 1990

    - J. Halbronn, Le milieu astrologique, ses membres et ses structures, Vol. 1., DESS, Paris VIII, 1995.

Notes

1 Cf. bibliographie. Retour

2 Cf. Mathématiques Divinatoires, Paris, Trédaniel, 1983 et “La Pensée astrologique” in J. Halbronn et S. Hutin, Histoire de l’Astrologie, Paris, Artefact, 1986. Retour

3 Cf. infra. Retour

4 Cf. L’Astrologie, la preuve par deux A Paris. Ed. R. Laffont, pp. 161 et seq. Retour

5 Cf. Astrologie Grecque, Paris, A. Leroux, 1899. Retour

6 Cf. à ce sujet nos communications sur le Tétrabible de Ptolémée, aux congrès d’Histoire de l’astrologie de Barcelone et de Malaga, en 2001. Retour

7 Cf. la préface (pp. 7 et seq.) de Jean-Charles Pichon à nos Mathématiques Divinatoires (1983), en date de juin 1980 concernant notre mode de décryptage. Retour

8 Cf. nos Clefs pour l’astrologie, Paris, Seghers, 1976. Retour

9 Cf. son Manifeste sur le Site Cura.free.fr. Retour

10 Cf. La Pensée astrologique, op. cit. Retour

11 Cf. Astrologie, la preuve par deux, op. cit., pp. 161 et seq. Retour

12 Cf. “Planetary influences on Human Behavior, too absurd for a scientific explanation”, Journal for Scientific Exploration, 4, pp. 85 - 104, 1990. Retour

13 Cf. Grande Conjonction, “Arcanes du savoir astrologique”, n° 5, avril 1978, pp. 3 et seq. Retour

14 Cf. Site Ramkat.free.fr. Retour



 

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