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La pensée astrologique : du mimétisme à l’ontologie |
Certains chercheurs en astrologie s’imaginent- en en faisant un postulat - qu’ils peuvent reconstituer le passé à coup d’évidences en faisant l’économie de l’arbitraire. C’est notamment ce qui ressortit d’un Colloque de l’école conditionaliste, qui eut lieu, au FIAP, à Paris, en 19971, vingt ans après le Congrès historique, organisé, au même endroit, par le MAU (le Mouvement Astrologique Universitaire), sur le thème de l’Ere du Verseau.2
En réalité, le passé ne se balise pas ainsi : ce serait ne pas tenir compte de la part de l’instrumentalisation, c’est-à-dire de la façon qualitative dont les choses sont perçues sans nécessairement que cela tienne à ce qu’elles sont en soi et ce serait aussi ne pas vouloir savoir que face à un ensemble de données, un choix quantitatif peut s’opérer qui prend ceci et laisse cela. A partir de là, il ne suffit pas de savoir ce que le ciel était ou de croire qu’il est ce qu’il a été, dans une sorte d’intemporalité, pour déterminer ce qu’est l’astrologie. En ce sens, les astrologues télescopent l’Histoire sous prétexte que l’astronomie peut leur servir de repère infaillible pour appréhender le passé, comme si l’astronomie était univoque et ne permettait qu’une seule et unique lecture. C’est dans cette illusion, nous semble-t-il, que J. P. Nicola (né en 1929) a pensé qu’il pouvait fonder son astrologie. En fait, quelque part, l’astrologie n’est pas fille de l’astronomie en ce qu’elle n’a pas à être tributaire du devenir de l’astrologie une fois l’alliance entre hommes et astres conclue, en un temps donné, dans le cadre d’un espace cosmique donné.
Or, il importe de se mettre à la place de ceux qui ont voulu utiliser non pas le ciel mais certains astres aux fins d’organiser leur société, fondant ainsi, il y a bien longtemps, le lien, l’alliance entre le haut et le bas. Quels étaient leurs besoins ? Que voyaient-ils, que com-prenaient-ils - qu’en prirent-ils ? Pour Nicola, la réponse est simple, tout ce qui est astronomique est or, pourvu qu’on renonce aux étoiles fixes, lesquelles ont le tort de ne pas appartenir à notre système solaire, ce qui les disqualifie d’office.3 Et Nicola de déterminer ce que forcément le Ciel signifiait / signifie, comment, en quelque sorte, le Ciel nous parle, la grammaire du langage astral.
Pour l’anthropologie fonctionnelle, les choses ne sont pas si simples : il est clair que l’homme a développé un rapport mimétique avec les astres, du moins avec ceux, tout particulièrement, qu’il percevait et qui le frappaient par leur présence remarquable. Ce mimétisme s’inspirait du fait qu’il serait “bon” pour telle ou telle société de se modeler structurellement sur ce qui semblait le plus cohérent dans le cours céleste, ce qui impliquait une sélection / élection et c’est celle-ci qu’il conviendrait de cerner.
Un tel rapport mimétique peut parfaitement avoir été entaché d’erreur et cela aussi devra être considéré4, tout comme en psychanalyse, le malentendu peut être fondateur. Erreur pouvant être due à l’ignorance et qui ne saurait être corrigée par le recours à un savoir anachronique. Ne projetons donc pas nos propres représentations sur la façon dont le ciel fut dé-terminé par de lointains ancêtres ! Car c’est moins le ciel qui nous détermina que l’inverse.
Tous les exposés prononcés lors du Colloque “L’astrologie, science en marche, partaient de la même idée: comment le ciel - en fait toutes les planètes, visibles comme invisibles - s’imposa à l’Homme et comment l’Homme intégra-t-il, naturellement et inévitablement, le ciel.5 Autrement dit, l’environnement céleste aurait structuré l’humanité et celle-ci n’aurait rien eu à redire.
Notre position est sensiblement différente6 et les travaux statistiques de Michel Gauquelin (1929 - 1991) qui ne trouvent de résultats que pour certaines planètes - et point pour d’autres - par exemple, pas de résultat pour Mercure ou pour Uranus - nous ont probablement inspiré une telle approche. Les hommes n’ont utilisé du ciel que ce dont ils avaient besoin, à l’exclusion du reste et ils leur ont assigné les significations qui leur convenaient, quand bien même n’auraient-elles pas correspondu à on ne sait quelle logique interne du système solaire que J. P. Nicola, tout au long de sa carrière de chercheur, s’efforça de décrire - de la théorie des Ages au système RET allant jusqu’à Pluton inclus, découvert en 1930 et dont le statut de planète est aujourd’hui remis en question - ce qui nous semble, malheureusement, un leurre.
Nous voudrions aborder un autre aspect du Colloque L’astrologie, une science en marche, à partir de l’exposé de Patrick Le Guen7 faisant la critique des résultats Gauquelin, en lui reprochant de négliger les facteurs extra-horoscopiques. Question bien délicate que ce distinguo et qui nous conduit à réfléchir sur ce que l’on pourrait appeler une astro-ontologie.
Et d’abord, l’astrologie est-elle une ontologie ? Il semble que pour beaucoup d’astrologues, elle en soit une, peu ou prou et que c’est en cela qu’elle serait en dialectique avec le monde extra-horoscopique.
Nous avons parlé de mimétisme, cela ne signifie pas pour autant que l’on ne puisse accéder à l’ontologie, à partir d’un arbitraire de la représentation. Car à l’origine de l’être, il y a probablement de l’arbitraire, ce n’est pas contradictoire, en dépit des apparences. Ne pas le comprendre, c’est encore une fois priver, nier à l’Humanité tout pouvoir créateur, la mettre sous tutelle.
Entendons par là qu’une fois un certain processus enclenché, il acquiert avec le temps une dimension ontologique, même si celle-ci n’existait nullement à l’origine. On pourrait parler d’une ontologie relative et dans le domaine des sciences humaines, ce concept d’ontologie relative nous semble précieux, heuristiquement. Notons que l’ontologie relative rejoindrait par certains côtés un certain existentialisme et un certain humanisme, au sens sartrien.
Si, en effet, les hommes se sont branché sur le ciel, à leur manière et avec les objectifs qui étaient les leurs, n’ont-ils pas fini par générer de l’ontologique en précisant qu’il ne s’agit pas d’une simple projection d’une essence sur le Ciel, mais bien d’une instrumentalisation pragmatique, correspondant à certains besoins, à préciser. En effet, dans mon rapport au monde, je peux vouloir utiliser un objet donné à des fins données, sans exprimer, ce faisant, tout mon être.
Prenons le cas des emprunts linguistiques - recherche en laquelle nous avons investi pas mal de temps, notamment dans les années Quatre-Vingt - les modifications sémantiques ou phonétiques ne sont pas nécessairement liées à la langue qui emprunte mais à une erreur plus ou moins aléatoire de décodage. En revanche, les effets d’une telle erreur peuvent perdurer et devenir pleinement constitutifs de la langue emprunteuse, touchant ainsi à l’ essence de celle-ci.
Ce serait merveilleux si toutes nos perceptions étaient nécessairement dans le vrai soit par rapport à ce qu’est l’autre ou par rapport à ce que nous sommes mais il existe, en réalité, une troisième solution qui est le champ de l’erreur, en précisant que l’instrumentalisation de l’objet implique également le risque d’une telle erreur / indifférence par rapport à ce que serait l’objet en soi, étant entendu que la forme extérieure de l’objet, sa mobilité apparente ou non, peuvent déterminer l’usage qui en sera fait. Il y a là une zone complexe qui devrait doucher quelque peu les présupposés des tenants d’une ontologie non pas relative mais absolue. Avant d’affirmer en effet l’existence d’un tel déterminisme, il conviendrait en effet de démontrer qu’il n’y a pas eu d’interférences.
On nous objectera évidemment qu’il est bien difficile d’accéder à ce plan de l’ontologie relative et que celle-ci, en outre, par l’arbitraire de ses origines, ne serait pas dotée d’un pouvoir de transmission, puisque l’on tomberait dans le domaine délicat de la transmission des caractères acquis, de type lamarckien. Ce sont d’ailleurs, précisément, de tels obstacles qui ont fait préférer à certains, notamment chez les chercheurs en astrologie, de s’en tenir aux positions de l’ontologie absolue.
Il y a là en effet deux apories incontournables pour la pensée astrologique contemporaine :
1 - comment déterminer ce qui aurait ainsi été ontologisé, et
2 - comment s’assurer de l’existence de la perpétuation, à travers les siècles, de ce qui l’aurait été.
En ce qui concerne le premier point, on est en face d’un problème d’investigation d’un événement plus ou moins ancien, ce qui, encore une fois, nous renvoie à la psychanalyse qui relèverait de cette ontologie relative dont il est ici fait état. Comment savoir ce que les hommes ont com-pris et retenu du ciel, à un moment “fondateur” donné ? On pourrait parler d’une sorte de big bang au niveau de l’ontologie relative de tel ou tel phénomène, comme par exemple la conquête normande, au XIe siècle, qui affecta durablement le développement futur de la langue anglaise et ce jusqu’à nos jours, près de mille ans plus tard.
Autrement dit, qu’est-ce qui retint l’attention de nos aïeux dans le ciel tel qu’ils le percevaient aux fins d’un usage dont ils pourraient tirer quelque parti, ce qui aurait conduit, de fil en aiguille, au fait astrologique, tel qu’il pourrait être, de façon spécifique, appréhendé statistiquement ? La première évidence consiste à ne pas projeter sur un tel processus des informations qui étaient, à l’évidence, indisponibles, inaccessibles. Ce critère d’indisponibilité n’est nullement pris en compte par J. P. Nicola, pour qui le seul critère de sélection retenu est celui de la réalité matérielle de l’objet, qu’il soit visible ou non, connu ou non à l’époque où le lien entre les hommes et les astres aurait pris une certaine importance. On voit qu’en tout état de cause, on ne peut pas faire l’économie d’une certaine chronologie à moins d’admettre que le lien entre les hommes et les astres n’a pas changé, n’a pas évolué, de toute éternité car il était d’emblée fondé sur un savoir absolu, celui que la science contemporaine vise asymptotiquement et non sur un savoir relatif, celui d’une science beaucoup plus frustre et utilitaire.
Certains soutiennent qu’en insistant sur le caractère arbitraire et relatif de l’astrologie, nous faisons de l’anti-astrologie, c’est parce que pour eux tout ce qui ne transcende pas l’humain est précaire. Disons même que pour eux l’être se définirait en opposition à l’humain alors que pour nous l’humain génère de l’être.
En ce qui concerne le second point, à savoir la poursuite d’un effet relatif sur une très longue durée, il est clair que la sexuation, qui relève selon nous de l’ontologie relative est bien un phénomène offrant une certaine irréversibilité. Le vivant peut générer de l’irréversible, il n’est pas contraint pour se situer dans ce champ de la permanence de se greffer sur une quelconque ontologie absolue. Quelque part, nous vivons dans une certaine logique de fossilisation. La seule façon que l’humanité a de mettre fin à l’irréversibilité serait le génocide, la Shoa à l’encontre des juifs, et plus généralement le suicide. Si les Juifs, émanation d’une ontologie relative, ont été menacés d’extermination, n’est-ce pas précisément parce que leur différence apparaissait comme irréductible ?
Qu’est-ce donc pour l’astrologie conditionaliste que ces facteurs non astrologiques dont Gauquelin n’aurait pas su ou voulu tenir compte ? Vaste sujet qui touche autant au synchronique qu’au diachronique, dans la mesure où l’on admet que l’être précède l’existence et le nécessaire le contingent. Si l’astrologue, en effet, a à voir avec l’approche de l’être, est-ce qu’il doit rendre compte de ce qui se passe, comme le ferait un journaliste ? Nous avons déjà dit, ailleurs, ce que nous pensions de ces astrologues anti-prévision qui veulent démontrer que l’astrologie ne peut pas prévoir, mais prévoir quoi ? That is the question ! L’être justement. Qu’est ce qui dans ce qui a lieu relève de l’être, c’est-à-dire d’un plan, d’une fonction, faisant sens anthropologiquement et de tout temps, du moins à l’échelle du vivant et plus spécifiquement de l’humain ?
Certains astrologues nous répondront que ce qui relève de l’astrologie est ce qui peut s’expliquer par elle, c’est à dire par une combinatoire planétaire, zodiacale etc. Par exemple, l’être de l’événement du 11 septembre 2001 serait la grille planétaire que l’on peut y apposer. Tout ce qui passerait par le prisme astrologique appartiendrait ipso facto à l’être, en précisant que c’est l’astrologue qui est le grand prêtre d’une telle opération herméneutique, qui relie les hommes au cosmos, par le truchement du thème astral, appliqué à la naissance ou à un événement particulier. Encore qu’en fait, ce soit le client de l’astrologue qui s’approprie le thème et le fait sien à partir d’à peu près n’importe quoi. Ne pas comprendre là encore la créativité de l’humain, son aptitude à instrumentaliser les choses - à commencer par tel discours astrologique - par delà leur valeur intrinsèque, conduit à bien des illusions.
Nous réfutons une telle présentation des choses, on l’aura compris : ce n’est pas si simple. Le recours aux astres est certes nécessaire dans un tel modus operandi. Mais il exige d’être couplé avec une réflexion ontologique - d’où une équation comportant une inconnue x qui est la combinatoire céleste et une inconnue y qui est le processus dont il y a à rendre compte. Une astrologie qui ne disposerait que du x sans le y serait bien impuissante ! Ce y est certes un facteur non astrologique, si l’on considère comme non astrologique ce qui n’est pas immédiatement d’ordre astronomique mais peut-on isoler l’astrologie d’une ontologie plus générale dont elle ne serait qu’une composante, non isolable ? Ce que l’on demande à l’astrologue, c’est de nous dire non pas ce qui va se passer phénoménologiquement mais plus simplement qu’est ce qui est en train de se passer, de se jouer, ontologiquement parlant; qu’est ce qui fait vraiment sens par delà les contingences qui se présentent. Si l’on prend la crise irakienne du printemps 2003, la question n’est pas de savoir ce qu’il en sera de cette guerre, mais de quelle façon elle s’inscrit dans une nécessité fonctionnelle dont elle n’est évidemment qu’une manifestation parmi bien d’autres. On demande à l’astrologue de désenclaver cette crise, de la relier à d’autres événements présents et passés ou en train de se produire. Sinon, l’astrologue fera fausse route et n’aura pas élaboré un cadre ontologique pour comprendre le monde; en cela il faillira à sa mission. Autrement dit, une astrologie qui ne s’accompagnerait pas d’une philosophie de l’Histoire, de la Société, serait inacceptable. Et précisément, c’est par le biais d’une telle philosophie, véritable interface, que l’astrologie peut entrer en contact avec les autres modes de recherche.
Une astrologie de l’en train de se faire, de ce qui passe plus encore que de ce qui se passe, nous semble à privilégier en ce que l’astrologie n’étudie pas les ruptures mais les relais, elle ne se polarise pas sur des dates mais sur des périodes, des phases et en ce sens elle se rapproche épistémologiquement des attentes de la Nouvelle Histoire qui, elle aussi, se situerait dans une quête ontologique, à sa façon, impliquant un certain dépouillement, une décantation des événements.
Il convient enfin de ne pas se tromper d’époque: il en est qui s’imaginent que, connues d’une petite chapelle, leurs belles constructions, inspirées des données de la science contemporaine en matière d’astronomie ou de sémiologie - et donc ipso facto anachroniques - sont en mesure de se substituer à des structures beaucoup plus anciennes; ils croient que l’on peut à loisir constituer une nouvelle ontologie relative. C’est vouloir oublier que l’émergence d’une nouvelle ontologie, non pas en tant que discours mais en tant que réalité sous-jacente, est liée à certaines conditions sociales, permettant de passer de la culture à la nature.
Encore faudrait-il, en effet, qu’il existât dans notre société une culture astrologico-astronomique prégnante qui pourrait, à terme, engendrer de nouvelles structures mentales. Entendons par là qu’une nouvelle astrologie impose ses lois à la vie sociale, de façon consensuelle. Or, il semble bien que le statut de l’astrologie, dans nos sociétés actuelles, reste marginal et ne passe plus par un rapport direct avec le Ciel, ne serait-ce d’ailleurs que parce que la dite astrologie, du fait même de sa sophistication et de son abstraction, s’articule sur des objets et des divisions célestes proprement invisibles. Il y aurait bien la connaissance répandue de son signe zodiacal chez une large population, ce qui trahit selon nous une sorte de nostalgie du temps où les astres servaient de guide aux actions des hommes. Mais cette culture zodiacale primaire, largement diffusée dans la Presse depuis les années Trente8 n’a rien à voir avec les ambitieuses constructions de nos astrologues contemporains, en décalage avec elle. Ce culte du Zodiaque ne renvoie à aucune réalité matérielle sur le plan céleste, cela ne concerne ni planètes, ni étoiles, sinon selon un processus analogique (maîtrises planétaires), tout au plus le cycle des saisons, davantage ressenti au niveau d’une division en quatre qu’en douze, d’ailleurs et ne relevant que du Soleil.9
Il est clair en effet que seule une astrologie extrêmement simple, compréhensible par le plus grand nombre ait jamais eu quelque chance de s’inscrire dans une ontologie même relative - ce qui n’a notamment rien à voir avec le thème astral, sauf dans la forme dépouillée adoptée par Gauquelin qui n’a fait que décrire un phénomène astro-social antique, ne faisant appel à aucune donnée récente sur le plan astronomique. En pratique, comme on parle de la fin du prophétisme, nous pensons que les temps ne sont plus à rénover l’astrologie, en l’ajustant à de nouveaux savoirs mais bel et bien à retrouver l’astrologie telle que les Anciens l’ont générée et vécue avec les moyens du bord.
Jacques Halbronn
Paris, le 12 avril 2003
Notes
1 Cf. L’astrologie: une science en marche, Actes du Colloque COMAC, Ed COMAC. Retour
2 Cf. revue Aquarica, sur le site Ramkat.free.fr. Retour
3 Cf. notre étude sur astrologie et signalisation, sur le Site Ramkat.free.fr et dans Etoile et Planète Site http://www.astrofred.com/mouvement/index.html. Retour
4 Cf. J. Halbronn, Créativité de l’erreur: pour une errologie, in collectif Eloges, Paris, Le Lierre & le Coudrier, 1990. Retour
5 Cf. l’exposé de J. P. Citron, Le signal astrologique. Hypothèse et directions de recherche à cette occasion mais aussi lors du Colloque MAU-CURA de 2000, Frontières de l’astrologie, disponible notamment sur CD, réalisé par Louis Mazuir (RAO). Retour
6 Cf. La pensée astrologique, in Histoire de l’Astrologie, Paris, Artefact, 1986. Retour
7 En matière de recherches, outre les statistiques existent-ils d’autres voies, d’autres méthodes pour valider le signal astrologique ? Retour
8 Cf. J. Halbronn, La vie astrologique, années trente cinquante, Paris, Trédaniel, 1995. Retour
9 Cf. J. P. Nicola, La condition solaire, Paris, Ed. Traditonnelles, 1965. Retour
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