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ASTROLOGICA

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L’avenir du monde selon l’astrologie axiale

par Jacques Halbronn

    “Les Etats Unis s’efforceront (...) de semer la division au sein de l’Union européenne. En encourageant évidemment leur allié britannique à plaider pour la dilution des institutions intégrées dans une zone de libre-échange. En jouant (…) la carte des nouveaux membres qui entreront en 2004.&148
(Charles Lambroschini, article “Wolfowitz: la France devra “payer” pour son opposition à la guerre”,
Figaro, 13 avril 2003, p. 7
)

    Dans une situation comme celle qui règne actuellement, l’astrologie devient singulièrement précieuse : on peut en effet se demander comment les choses vont évoluer, comment cela va “tourner”, dans les prochaines années mais aussi comment on en est arrivé là. Force en tout cas de constater que, du moins à notre connaissance, le milieu astrologique français n’avait pas vraiment annoncé une crise à venir de l’Union Européenne.

   Or, comme nous l’avons écrit ailleurs, la question des alliances serait au coeur de l’investigation astrologique sinon son objet principal et l’on saisit, actuellement, l’importance stratégique d’un tel savoir faire. C’est probablement dans ce registre que l’astrologie saura se rendre le plus utile, voire indispensable et instaurera sa crédibilité au XXIe siècle.

   Ce qui surprend l’opinion, en effet, ce ne sont pas tant les conflits prévisibles mais ceux qui semblent imprévisibles, tant ils modifient l’ordre prétendu normal des choses. Or, c’est bien ce qui se passe en ce moment: il y a bel et bien une crise entre la France et les USA et dont personne n’avait prévu l’ampleur et c’est là probablement un phénomène plus étonnant que la guerre en Irak, en tant que telle, voire que l’opposition traditionnelle entre le monde occidental et l’Islam.

   Le phénomène qui nous intéresse se présente sous deux facettes :

         - une rupture, parfois vécue comme une trahison, entre des éléments faisant partie ou censés faire partie d’un même ensemble.

         - un rapprochement, également vécue comme une trahison, une alliance entre des mondes perçus comme antagonistes ou incompatibles.

   On remarquera que le mot trahison caractérise la sensation provoquée par un changement de phase, que ce soit trahison de celui qui quitte ses amis d’hier, qui se désolidarise (comme c’est le cas de Jacques Chirac actuellement par rapport aux alliés anglo-saxons des deux guerres mondiales. Observons que trente ans plus tôt soit exactement dans la même configuration, Chirac avait “trahi” Chaban Delmas pour faire gagner Giscard d’Estaing, à l’élection présidentielle de 1974) ou trahison de celui qui fraie avec ses ennemis d’antan.1

   La tâche de l’astrologue serait ainsi de gérer, en douceur, en temps utile, de telles évolutions nécessaires, au demeurant, à la bonne marche du monde et qu’il ne faudrait pas percevoir comme des monstruosités dont il serait bon de s’esclaffer.

   Ce domaine n’est pas aussi restreint qu’il pourrait le sembler, il revient au chercheur d’en étendre toujours plus l’impact sur divers plans, sans pour autant multiplier les paramètres astronomiques, comme cela se pratique trop souvent.. On pense notamment au domaine de l’entreprise dont on sait à quel point il fonctionne de la même façon que celui des Etats: il y est aussi question de stratégie, d’alliances, de démembrement etc. Et cela vaut probablement à une échelle plus modeste mais, pour notre part, nous préférons nous en tenir au domaine des activités connues du public et ayant des incidences socio-politiques ou socio-économiques, connues de tous et bien répertoriées.

   Qu’est ce qui est en train de se passer, en ce moment: telle est la question par laquelle il convient d’interpeller l’astrologue, ce qui sous entend qu’on ne le sait pas nécessairement quand bien même serait-on confronté à une certaine situation : on vient en fait lui demander une explication non point tant pour le futur que pour le présent dans la mesure où saisir le présent, c’est se faire une idée de ce qui nous attend. C’est en effet en accédant à la dimension ontologique de ce qui est en cours, que l’on pourra prétendre décoder ce qui se trame.

   Il est donc important que le milieu astrologique ne rate pas la prochaine opportunité prévisionnelle de grande envergure car c’est probablement à cette occasion que la place de l’astrologie pour les prochaines décennies voire pour les prochains siècles pourrait se jouer car rien ne prouve que l’astrologie n’est pas menacée à terme d’être complètement rejetée dans un monde de plus en plus exigeant sur le plan scientifique et technologique, avec en tout cas un recrutement de plus en plus médiocre de ceux qui voudraient oeuvrer pour elle.

   Pour se préparer à une échéance à venir d’ici la fin de la décennie actuelle, notamment entre 2006 et 2009, il importe de satisfaire à certaines conditions :

         - d’une part ne pas avoir trente-six fers au feu en se disant que l’un d’entre eux donnera quelque chose. On connaêt ce stratagème qui consiste à cacher plusieurs papiers dans une pièce et au vu du résultat sortir le papier correspondant en affirmant, “preuve” à l’appui, que c’est bien ce que l’on avait annoncé.2

         - d’autre part, mettre en place une rétrospective mettant en évidence les multiples manifestations, du cycle utilisé et permettant ainsi la mise en oeuvre d’une approche statistique.

   Autrement dit, un modèle unique avec de nombreuses applications et non pas des modèles divers avec chacun une seule application. Ce qui signifie un élément astronomique bien défini, celui de l’astrologie axiale3 , et couvrant une riche réalité historique.

   En effet, pour pouvoir procéder à une recherche statistique, il importe que l’on puisse confronter une même “cause” - le modèle astronomico-cyclique utilisé - à un grand nombre d’effets sans lien nécessairement direct entre eux, ce qui implique de ne pas s’enfermer dans un cadre géographique et chronologique trop étroit mais en fait de s’ouvrir à l’ensemble de la planète au cours de toute son Histoire.4

   En 1989, on avait pu croire que l’astrologie mondiale tenait le bon bout : André Barbault n’avait-il pas annoncé longtemps à l’avance, dès les années Cinquante, que cette année serait importante pour l’URSS ? Comment se fait-il alors que sur cette lancée on n’ait pas annoncé, pour quinze ans plus tard, un processus assez comparable, mutatis mutandis, à savoir la crise de l’Union Européenne, de l’Alliance Atlantique et du monde arabe, excusez du peu ?

   C’est qu’un tel “succès” prévisionnel se révéla en fait fortuit et ne pouvait donc être répété sur la base du même “modèle”. La prévision n’était censée au demeurant ne valoir que pour l’espace soviétique et couvrir la seule Histoire de l’URSS, tout au long du XXe siècle et notamment trois dates considérablement espacées, à des intervalles de 36 ans: 1917 - 1953 (mort de Staline) -1989.

   C’est aussi que la prévision en question n’avait pas indiqué le moins du monde ce qui serait en jeu en 1989, se contentant d’indiquer que ce serait un moment “important” pour cette entité politique.

   En tout état de cause, le modèle en question (articulé autour des relations cycliques entre planètes Saturne et Neptune) n’était censé valoir que pour l’URSS et encore selon une idéologie communiste (d’où le rôle de Neptune) et avec une prochaine échéance 36 ans après 1989, ce qui nous renvoie sinon aux calendes grecques du moins à l’an 2025. Autrement dit, un tel modèle ne présentait, au mieux, qu’un usage des plus limités, et ce d’autant plus que la Russie avait cessé entre temps d’être communiste !

   Notre approche de l’astrologie mondiale est bien différente : elle concerne des phases relativement brèves de sept ans qui sont plus à l’échelle de la vie politique que celles de 36 ans. Elle ne se focalise pas sur une année fétiche mais sur un ensemble d’années marquée par un ensemble de phénomènes convergents et peu ou prou synchrones.

   Le fait que cette fois, quinze ans après, la Russie n’ait pas été touchée n’a rien pour nous surprendre car c’est, en quelque sorte, à chacun son tour. Il y a quinze ans, l’effet principal du cycle Etoile / planète - Saturne / Aldébaran / Antarès - avait touché le bloc communiste dont on avait pu penser qu’en tout état de cause, il se maintiendrait indéfiniment en un seul tenant. Quinze ans, plus tard, la conjonction de Saturne avec l’axe stellaire, tape à l’Ouest, par un mouvement de balancier. Là encore ceux que l’on croyait “alliés” ad aeternam se révèlent être d’une certaine incompatibilité d’humeur. Mais le processus, grosso modo, n’en est pas moins le même, c’est-à-dire des fissures au sein d’un certain bloc certes uni selon d’autres principes que le bloc communiste.

   L’échéance dont nous parlons à présent n’est pas à quinze ans de distance mais sensiblement plus rapprochée car il ne s’agit pas d’attendre un phénomène comme celui que nous venons de décrire mais celui qui est dialectiquement inverse et qui a lieu sept ans après, c’est-à-dire à mi-chemin (écart de 90° entre Saturne et l’axe stellaire).

   Il importe de baliser aussi parfaitement que possible le climat qui est celui qui va se profiler d’ici quelques années de façon à éliminer le plus d'ambiguïtés et d’aléas prévisionnels, entendons par là que l’on ne vienne pas chipoter la qualité des travaux engagés; autrement dit, il faut verrouiller le dispositif.

   Que va-t-il donc se passer lors de la phase suivante de si spécifique ? La question mérite d’autant plus d’être posée que nous sommes en ce moment en plein dans la phase inverse et qu’en conséquence, nous allons à contre-courant, avec un train d’avance, ce qui est bien normal pour des astrologues dignes de ce nom.

   Il est vrai que les astrologues ont souvent été échaudés par des prévisions à long terme ne serait-ce que parce qu’elles tombent généralement dans l’indifférence à peu près générale puisqu’elles semblent ne pas avoir d’application et surtout de vérification immédiate et puis aussi parce qu’il est quand même plus commode de se mettre à la traêne de l’actualité la plus récente ou la plus prochaine, genre septembre 2001 ou élections présidentielles en France. Or ici, ce n’est nullement de cela qu’il s’agit. Mais comment, objectera-t-on, faire une prévision sans savoir précisément où quelque chose va se passer ?

   En réalité, il ne s’agit pas d’attendre un événement ponctuel, en un seul lieu, à une seule date mais bien plutôt une série, un train d’événements à une échelle internationale, tant il est vrai que tout ce qui se passe accède assez vite à une telle dimension, du fait de la mondialisation déjà caractéristique du siècle écoulé.

   Il s’agit bien plus tôt d’annoncer suffisamment à l’avance un retour de manivelle, c’est-à-dire la conclusion de nouvelles alliances, faisant suite à la crise actuelle des anciennes. Cela signifie aussi que ces nouvelles alliances ne sauraient se concrétiser dès à présent et qu’il y aura donc une période intermédiaire, avec parfois des tentatives prématurées et qui risquent fort de se décourager au moment même où un nouvel ordre du monde pourrait apparaêtre. On voit donc que le rôle de l’astrologue par rapport à l'avènement d’une nouvelle phase commence dès à présent face à une certaine impatience de conclure de nouveaux accords, en raison de la faillite des anciens.

   Ce décalage / déphasage intercalaire est intéressant à analyser: en effet, il serait inconcevable qu’un événement débouchât immédiatement et sans délai sur l’événement inverse et ce pour une raison très simple: c’est que le processus de décomposition n’est pas parvenu à son terme et qu’il y a un espace de temps dévolu à la remise en question des alliances et un autre à la conclusion de nouvelles. Comme il est dit dans l’Ecclésiaste, “il y a un temps pour chaque chose. ” Il faut d’abord en effet passer l’épreuve d’une certaine résistance pour pouvoir contempler le nouveau paysage politique avec les nouvelles possibilités de combinaison qui s’offrent. Cela n’aurait aucun sens de s’y prendre trop tôt avant de savoir ce qui est devenu disponible. Imaginons - ce n’est là qu’une parabole - une période où les couples se séparent, il faut attendre de voir qui est désormais libre pour faire son choix. Intervenir trop tôt ne serait pas très heureux. C’est pourquoi l’idée que du jour au lendemain l’Europe va pouvoir se redessiner nous semble assez utopique et risque de déboucher sur des tentatives avortées.

   En fait, la phase qui s’annonce, à l’horizon de la fin de la décennie actuelle, ne sera pas sans réserver quelques surprises, comme il se doit, avec le même impact - mais simplement en sens inverse - que cela fut le cas pour la phase en cours. Faut-il rappeler ce qu’il en fut à la fin des années Trente, avec l’Anschluss ou avec le pacte germano-soviétique ? Faut-il rappeler, dans les années Cinquante, les débuts du Marché Commun rassemblant les ennemis d’hier, la France et l’Allemagne ? Or, c’est un peu ce type de scénario “improbable”, qui risque de se produire, à mesure que l’on se rapprochera de la fin de la décennie. Mais comment prévoir l’improbable ?

   En fait, l’astrologue a plus un rôle de conseil que de devin, il doit participer à une équipe de réflexion sur les stratégies à suivre et sur celles que d’autres protagonistes pourraient être amenés à suivre, risquant ainsi de couper l’herbe sous le pied à l’autre camp. C’est un peu l’histoire des chaises musicales, il vaut mieux ne pas rester tout seul. L’idéal, c’est d’être le premier à conclure, à oser tel rapprochement, mais sans tomber, on l’a dit, dans des entreprises prématurées; il faut donc savoir quand les temps sont propices, soit ni trop tôt, ni non plus trop tard, quand tout est déjà accompli.

   Il est aussi probable que si les astrologues s’en mêlent, le phénomène lui-même prendra une autre tournure et le jeu des alliances n’en sera que plus délicat à gérer, le nombre de participants initiés se multipliant. C’est pourquoi, les entités politiques et autres qui sauront profiter de cette renaissance de l’astrologie prendront un avantage qu’elles pourront éventuellement conserver par la suite, dès lors qu’elles suivront les règles du jeu, un peu comme une voiture de course qui prend un bon départ sur un circuit.

   La stratégie peut d’ailleurs consister à limiter les dégâts, à prévenir certains développements, en cherchant à gagner du temps, ou au contraire à surfer sur la nouvelle donne. Chaque phase enclenche ipso facto un compte à rebours et il faut soit en profiter pour changer, soit tenir bon jusqu’à ce que la pression se mette à décliner. Face à un certain type d’événements, on résistera mieux si l’on sait que l’on attendant encore un peu, la menace s’estompera. Mais inversement, il faut aussi savoir que l’on n’a pas tout le temps devant soi et que si l’on ne conclut pas dans les délais, après il sera trop tard pour finaliser, la fenêtre se fermera.

   On imagine en effet qu’aucune phase ne peut se prolonger indéfiniment; une certaine sagesse préside au système qui laisse une certaine latitude pour que les choses puissent bouger mais qui a aussi prévu un coup de gong pour que cela n’aille pas trop loin, ni dans la décomposition, ni dans la recomposition, ce qui conduirait à des transformations par trop radicales exigeant des solutions de continuité.

   Rappelons enfin que de tels processus peuvent se dérouler sans guerre comme ils peuvent passer par ce moyen. L’astrologie ne peut annoncer une guerre mais tout au plus un risque de guerre. Certains rapprochements, dans l’Histoire, furent le fait des militaires, d’autres des diplomates et également certaines prises d’indépendance, certaines séparations se sont jouées dans les instances internationales et d’autres sur le champ de bataille. Parfois, ce fut un savant cocktail de ces divers procédés, parfois in extremis, un procédé se substitue à un autre; on est là dans une certaine contingence et l’astrologue ne se fera pas respecter tant qu’il n'ôta pas fait accepter qu’il n’est pas un voyant, fournissant le résultat des courses. Au demeurant, guerre ou pas guerre, le résultat final est souvent le même et la guerre n’est qu’un épiphénomène à l’échelle du rapport des hommes aux astres. C’est dire que pour nous il ne s’agit nullement, comme l’a longtemps cru André Barbault, de soutenir que le but de l’astrologie mondiale était de déterminer les périodes de tension ou de détente car toute phase peut générer l’une et / ou l’autre, qu’il s’agisse, par exemple, d’une guerre de sécession ou d’indépendance d’une part ou d’une guerre de conquête ou d’ une croisade, de l’autre.

   Il peut arriver aussi que certaines entreprises ne correspondent pas vraiment à la phase durant laquelle elles se déroulent, qu’elles surviennent trop tard ou trop tôt et c’est précisément alors que le manque de logistique astrologique se fait sentir mais c’est aussi, paradoxalement, alors, que l’on se met à douter de l’astrologie. Suffirait-il donc de prendre le contre-pied de ce que l’astrologie axiale nous enseigne pour la discréditer ? Que se passe-t-il en effet si l’on cherche à forcer une alliance alors que ce n’est pas le moment ou au contraire à se dégager d’une union alors que le temps n’est pas encore venu ? Bien des astrologues ont probablement provoqué, par leurs conseils malvenus, de tels effets. C’est ce que l’on appelle agir à contretemps.

   Seule une approche statistique est ici pertinente : une hirondelle ne fait pas le printemps. Dans la crise irakienne, quelque part les Etats Unis ont eu raison de passer outre les procédures de l’ONU car nous sommes dans une époque de remise en question de tels ensembles tout comme la France a eu raison de ne pas suivre la Grande Bretagne et les Etats Unis, ce qu’elle n’avait pas osé faire, lors de la “Guerre du Golfe”, en 1991 alors que la phase d’alors s’y prêtait déjà. Le résultat est certes inquiétant au niveau des instances internationales mais c’est là une saignée ou une purge salutaire. Le monde arabe, pour sa part, a fait la démonstration de son manque de cohésion, il s’est désolidarisé de l’Irak, c’est là aussi un signe important qui ouvre, à terme, la voie à de nouvelles alliances transgressant les anciens découpages. Mais déjà pendant la Guerre du Golfe, le monde arabe avait été divisé, est-ce que cela lui permit de profiter de la phase suivante pour composer une nouvelle politique ? Oui, si l’on admet que les Accords d’Oslo en furent la conséquence et permirent, en 1993, à l’OLP de trouver un terrain d’accord avec l’Etat hébreu si longtemps honni, alliance au demeurant bien fragile et dont la fixation des modalités traêna en longueur et qui semble mal résister au nouveau cours des choses qui ne va plus dans le même sens. On notera qu’entre l’arrivée de Yasser Arafat en Cisjordanie et le voyage d’Anouar El Sadate à Jérusalem et ce qui leur fit suite, il s’écoula une quinzaine d’années, c’est-à-dire que cela se produisit lors de phases analogues (quadrature de Saturne à l’axe stellaire), induisant des rapprochements difficiles à imaginer, peu auparavant.

   Mais ne suffit-il pas d’attendre pour que tôt ou tard de nouvelles opportunités se présentent. Rien n’est définitivement joué: les empires, qui sont des alliances plus ou moins contraintes, s’écroulent mais peuvent aussi renaêtre.

Jacques Halbronn
Paris, le 13 avril 2003

Notes

1 Exemple de Sadate, qui sera assassiné pour cela. Retour

2 Cf. notre étude sur A. Barbault, “Heurs et malheurs de l’astrologie mondiale”, Site Cura.free.fr et sur le Site Faculte-anthropologie.fr., rubrique Astrologie, pathologie d’une épistémé. Retour

3 Cf. notre schéma sur Etoile & Planète, Site . Retour

4 Cf. nos travaux sur le “modèle universel”, Actes du Colloque MAU-CURA, Site Cura.free.fr. Retour



 

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