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ASTROLOGICA

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L’astrologie et le rapport conscient/inconscient

par Jacques Halbronn

    Selon nous, le XXIe siècle réhabilitera le rôle de la conscience alors que le XXe siècle fut peut-être celui de l’inconscient et du subconscient.

   Qu’entendons-nous par conscience ? On dira une certaine prise de responsabilité, de se déterminer en faisant un certain nombre de choix. Ajoutons que notre réflexion ne se focalise nullement sur la seule astrologie et qu’il nous semble exclu que l’astrologie puisse être un cas isolé. Rien ne serait plus suspect, en vérité, que d’élaborer un modèle qui ne vaudrait que pour l’astrologie. Or, d’aucuns sont tentés de voir dans l’astrologie un super modèle coiffant tous les autres, ce qui leur évite d’avoir à intégrer l’astrologie... dans un modèle, puisqu’elle serait Le modèle.

   Nous prenons en fait le contre-pied de la plupart des penseurs de l’astrologie qui voit en l’astrologie la preuve que l’homme est soumis au Cosmos, qu’il le veuille ou non. Les astrologues se croient probablement obligés d’adhérer à une telle représentation pour légitimer leur savoir. Or, ce n’est pas en adoptant une posture que nous qualifierons d’anti-humaniste que l’astrologie trouvera grâce aux yeux de la Science.

   L’astrologie, en effet, est une invention des hommes. Mais qu’entend-on par astrologie ? Parle-t-on du savoir astrologique ou bien du phénomène astrologique en soi ? C’est peu de dire que le décalage entre ces deux acceptions est considérable, sinon abyssal. Pour certains, au contraire, les deux acceptions se recouperaient parfaitement, savoir et phénomène ne feraient qu’un. Encore que la découverte de nouvelles planètes dût engager à une certaine prudence. Si ces planètes inconnues des Anciens jouaient un rôle et dans ce cas si la tradition astrologique n’en tenait pas compte, dès lors quel crédit lui accorder ? Rares, pourtant, sont ceux aujourd’hui, parmi les astrologues, qui rejettent ces nouvelles planètes encore que certains s’échinent à démontrer qu’on connaissait celles-ci dans l’Antiquité.

   En ce qui nous concerne, la tradition astrologique telle qu’elle est devenue et telle qu’elle nous est parvenue est fort éloignée du phénomène qu’elle est supposée décrire. Mais il conviendrait de se demander comment le savoir astrologique s’est constitué, à partir de quelles observations, de quels recoupements. Pour notre part, nous ne pensons pas que les hommes eussent été aptes à décoder correctement un quelconque message céleste alors qu’en revanche, ils étaient en mesure d’encoder le Ciel, c’est-à-dire de lire le ciel à leur manière et de se conformer à cette lecture.

   Ce serait donc en toute conscience que les hommes auraient décidé de se raccorder au ciel et d’y chercher, d’y puiser quelque énergie du fait même du lien ainsi voulu et créé. Il ne s’agirait donc nullement d’une quelconque passivité envers les forces célestes lesquelles, selon nous, ne s’exerceraient que par le bon vouloir et dans les conditions et les limites fixées par les hommes et non au nom d’une analogie dont on nous rabat un peu trop les oreilles. Nous prenons ainsi le contre-pied des positions d’un chercheur comme Alain Nègre reprenant la thèse d’un univers déjà codé avant que l’homme ne s’en mêle.1

   Mais encore faut-il inscrire un tel processus dans le cadre plus large de la sélection des espèces. Et là encore, on tend à nous parler de passivité, la sélection s’effectuant à l’insu de l’homme ou du moins sans qu’il y puisse rien faire dans un sens ou dans un autre. Or, selon nous, ce n’est pas du tout ainsi que les choses se sont passé à savoir que les hommes auraient eux-mêmes mis en place des processus sélectifs, ce qui implique bel et bien une certaine conscience. Entendons par là que ce sont les hommes qui auraient opéré un certain nombre de sélections, c’est-à-dire qu’ils auraient pratiqué peu ou prou une politique délibérée d’eugénisme, ce qui impliquait une assez forte natalité.

   A partir du moment où l’on aborde la question des relations entre hommes et astres, et si l’on admet que ce lien ne s’impose nullement d’emblée, on est bien obligé d’admettre que les hommes avaient une certaine marge de manoeuvre et que les choses ne leur étaient pas imposées. On dira que les hommes firent des choix, améliorèrent leurs performances, même sans y être contraints, se perfectionnèrent comme ils perfectionneront par ailleurs leurs outils, au nom du progrès et pas uniquement de la nécessité ou de la pression de l’environnement.

   Le jour où l’on admettra que les hommes prirent très tôt en mains leur destin, on comprendra mieux l’émergence du phénomène astrologique, avec tout ce qu’il a au départ d’arbitraire et d’artificiel, ce qui ne signifie nullement que le phénomène soit réversible et n’existe qu’autant que les hommes l’auront bien voulu.

   En effet, selon nous, de telles entreprises sélectives s’ancrent dans un substrat biologico-génétique qui peut correspondre, éventuellement, à l’Inconscient Collectif de Jung. Mais ce qui distingue notre approche de celle de Jung tient à ce que pour Jung, les hommes seraient déterminés au départ par le dit Inconscient tandis que pour nous celui-ci est structuré par les hommes. La différence entre les deux démarches n’est pas si importante qu’on pourrait le croire puisque dans un cas comme dans l’autre l’Humanité est désormais marquée de façon irréversible par cet Inconscient Collectif, c’est seulement sur la genèse de cet Inconscient que les avis différent.

   Pour mener à bien une telle structuration de la psyché, comment les hommes ont-ils du procéder ? Il a bien fallu passer par une certaine pratique de l’élevage, de l’étalonnage, du dressage, ce qui impliquait une grande disponibilité chez les femmes/femelles, d’autant que l’on ne gardait que les enfants les plus prometteurs, ceux qui correspondaient à une certaine idée du progrès. Car le progrès de l’Humanité avant de passer par la maîtrise technologique impliquait une biotechnologie, c’est-à-dire que les hommes payaient littéralement de leur personne et que le progrès était fonction d’un accroissement de leurs aptitudes, et ce dans le sens fixé par la société.2

   En ce qui concerne la sensibilité au cosmos, il est probable, selon cette théorie, que l’on ait sélectionné les sujets les mieux capables de se repérer dans le ciel, de distinguer les corps célestes en sachant isoler les informations utiles de celles qui ne l’étaient point. Si on avait laissé les choses se faire toutes seules, on n’eut guère progressé, les individus peu pertinents par rapport au programme encombrant l’espace social. Il a donc bien fallu les évacuer voire carrément les éliminer.

   On voit donc que nous sommes ici aux antipodes d’une sélection ou d’une corrélation s’imposant aux hommes et c’est en cela que nous introduisons un coefficient conscientiel qui semble manquer au (néo) darwinisme. Bien au contraire, cette sélection et cette corrélation est le fait de la volonté des hommes de s’orienter dans un sens et non dans un autre. Mais répétons-le, il y eut certainement énormément de déchets, de laissés pour compte; on pourrait parler d’une sorte de cimetière de tous les êtres ne donnant pas satisfaction, soit en raison de leur trop grande anormalité, soit de leur trop grande normalité, deux cas de figure ne permettant pas de véritable progrès.

   Quelque part, ce que nous disons des actions des hommes a été dit dans le passé à propos des dieux et notamment dans la perspective biblique. Nous rejoindrions ici la position des religions qui considèrent qu’il a fallu une intervention, une interférence avec le cours naturel des choses et pour notre part nous préférons parler de l’émergence de la conscience. Car à partir du moment où l’humanité conscientise, elle va chercher à s’améliorer non pas tant moralement que physiquement, en accroissant singulièrement ses potentialités, étendant au plus grand nombre ce qui n’est souvent au début que le fait de quelques uns, ce qui implique - insistons sur ce point - une augmentation considérable des combinaisons hommes/femmes les plus prometteuses et une décimation draconienne des fruits des combinaisons les plus décevants, la mort, l’infanticide, devenant un vecteur crucial de progrès.

   Mais ce type de progrès ne nous est plus guère et depuis belle lurette familier. La filière que nous avons décrite plus haut a fini par être abandonné, ce qui conduisit à renoncer à travailler sur les humains, à provoquer des mutations. Le temps des mutations étant révolu, ce que nous avons appelé l’âge utérin, on est passé à une ère qui n’exigeait plus que l’homme changeât de nature et que nous appelons l’âge cérébral. C’est désormais par le travail du cerveau et non plus de l’utérus que les percées se feront, ce qui a du coïncider avec un certain repli du rôle social des femmes.

   D’où une grande difficulté pour nos contemporains à comprendre comment le rapport hommes/astres a pu se mettre en place, ce qui les conduit soit au rejet de l’astrologie, soit à l’adoption d’un principe d’analogie qui ne satisfait guère nos modernes intellects. Selon la logique d’un environnement imprimant ses structures sur les hommes - thèse que rappelons-le nous combattons - il faudrait que les astres fussent dotés de vertus particulières que la science ne parvient pas à cerner. En revanche, si ce sont les hommes qui ont encodé les astres, qui les ont instrumentalisés, alors c’est dans les hommes et non pas dans les astres qu’il faut chercher, le propre de l’instrumentalisation étant qu’on ne tient guère compte de ce qu’est l’objet ainsi traité en soi. Encore faut-il préciser que les hommes ont opéré un choix parmi les astres dont ils avaient besoin alors que l’astrologie classique part, quant à elle, du principe que nous rejetons à savoir que tout ce qui existe astronomiquement doit ipso facto faire sens pour l’humanité. Notre approche, quant à elle, se veut minimaliste, elle tend à mettre en évidence les besoins en temps social, “constitutionnel”, qui étaient ceux de notre Humanité, il y a bien des millénaires.

   Les astrologues contemporains s’imaginent pouvoir modifier les données astrologiques en empruntant à l’astronomie moderne. Mais pourquoi et comment faire ? Pourquoi faire en effet, dès lors que notre temps social est mis en place de longue date et nous suffit largement, à quoi bon chercher à l’enrichir, à le complexifier ? On nous répondra évidemment que ce n’est pas aux hommes qu’il revient de déterminer ce que les astres sont ou font. Eh bien, précisément, si! Et comment faire, alors que les astres que l’on voudrait ainsi ajouter sont invisibles à l’oeil nu et surtout que l’humanité actuelle n’a que faire d’une telle approche cosmique et n’est en outre nullement en mesure de pratiquer un quelconque eugénisme à grande échelle, lequel demanderait des siècles avant de trouver quelque prégnance. Nous ne pensons donc pas que l’on puisse modifier ou reprogrammer - du moins pas de sitôt - notre rapport aux astres.

   On prendra donc la mesure des différences radicales qui opposent de nos jours les chercheurs et les penseurs en astrologie, entre ceux qui font de l’astrologie le cheval de Troie d’une sorte d’universalisme tout puissant s’exerçant sur tous les êtres vivants et ceux qui précisément, comme nous, souligneront le fait que seule l’espèce humaine semble avoir été sensible aux structures cosmiques au delà du cas des luminaires, ce qui montre bien que le rapport hommes/planètes est un artefact qui aurait pu aussi bien ne pas exister et non pas une fatalité synchronique. Peut-on imaginer une autre humanité, sur une autre galaxie, ne se reliant pas, peu ou prou, à certains éléments de son environnement céleste ?

   L’Humanité ne s’est pas contenté de subir ou de s’adapter à son environnement, elle l’a conquis, apprivoisé, fait sienne - l’union faisant la force - de façon à augmenter son pouvoir sur le monde. Si l’humanité ne s’était pas liée - répétons-le volontairement - aux planètes et aux étoiles fixes - on ne parle pas ici du soleil qui, lui, en revanche, s’est imposé à elle mais qui est l’exception qui confirme la règle - que se serait-il passé, qu’aurait-il pu se passer ? C’est à une telle réflexion que les chercheurs en astrologie devraient bien s’atteler car pour eux il est essentiel de parvenir à faire ressortir la dimension proprement astrologique de la condition humaine plutôt que d’affirmer carrément que l’astrologie, en tant que phénomène, explique tout puisqu’elle préexiste à tout et même à la conscience, ce qui signifie que notre rapport aux astres - hors luminaires - était inévitable et ne dépendait nullement de notre avancement scientifique et donc conscientiel à savoir la perception d’un mouvement planétaire spécifique au sein du ciel étoilé.

   Selon notre approche, d’ailleurs, ce n’est pas tant les astres qui agiraient sur nous, en tout état de cause, mais les relations que certains entretiennent entre eux. Notre lien à un astre comme Saturne ne serait nullement du à un quelconque rayonnement de Saturne, en dehors de celui qui le rend visible et qui est un reflet de la lumière solaire, mais aux aspects que Saturne développe successivement avec quelques étoiles fixes (carré, conjonction à l’axe Aldébaran/Antarès). Saturne ne joue pas ici d’autre rôle que celui de la petite aiguille sur une horloge.3

   Revenons à notre question : que serions-nous sans cette horloge que nous avons en quelque sorte dessinée dans le ciel et que nous sommes d’ailleurs les seuls à déceler et à repérer parmi toutes les configurations existantes dont nous n’avons nul besoin ? Comment gérerions-nous alors notre temps puisque il nous semble évident que le rapport aux astres, à leur rythme, comporte avant tout un enjeu en rapport avec la structuration du temps de la cité ? Il s’agit là certainement d’un acquis aussi déterminant que celui de la sexuation qui divise l’espace social et implique des complémentarités. Le Temps que permet notre rapport collectif aux astres - on ne parle pas ici évidemment d’une temporalité propre à chaque individu - à laquelle un Alain Nègre accorde quelque importance - et qui correspond à une évolution relativement tardive et aberrante du savoir astrologique - introduit une alternance de phases ; on n’a pas besoin de plus. Autour d’un socle périodique aussi modeste fût-il, ne se réduisant pas au rythme annuel des saisons, toute une civilisation a pu ainsi se mettre en place de la même façon que l’apprentissage d’un langage aussi réduit soit-il ouvre des perspectives de développement considérables. Selon nous, le lien que l’Humanité a su établir et non découvrir, comme le suppose Alain Nègre, aura permis à notre monde de ne pas se scléroser, de mener des actions sur un terme relativement long, ce qu’illustre, dans la Bible, le songe de Pharaon avec la parabole des sept vaches grasses suivies des sept vaches maigres, correspondant, selon l’interprétation qu’en donne Joseph, à autant d’années. Nous avons comparé une telle élaboration4 à la constitution d’un Surmoi, dans tous les sens du terme. Le fait que tous les hommes répondent à la même temporalité est à l’évidence un facteur de cohésion et de cohérence sociale, sans lequel notre monde serait bien plus anarchique. On tend de nos jours à sous estimer l’importance de ces structures archaïques et depuis longtemps devenues inconscientes - mais qui ne le sont pas à tous les niveaux de notre organisme physiologique - dans la bonne marche de nos sociétés. Or, on est là en présence d’un régulateur essentiel sur lequel peuvent venir se greffer diverses formes d’organisation du temps comme les élections, les changements d’équipe au pouvoir, quel que soit le processus officiel de renouvellement. Sans une telle structure sous-tendant nos sociétés - et dont l’astrologie a à rendre compte en priorité - notre humanité ne serait certainement pas ce qu’elle est, elle s’épuiserait à maintenir le cap, et vivrait dans une bien plus grande précarité, dans une imprévisibilité chronique, jouissant certes d’une plus grande liberté mais au prix d’une dépense d’énergie, d’une vigilance infiniment plus grandes. Le phénomène astrologique appartient, au demeurant, au champ des divers automatismes qui nous facilitent l’existence et permettent de garder le cap, à commencer par l’automatisme de la gestation, celui, plus généralement, du corps. C’est d’ailleurs la dialectique du corps et de l’esprit qui selon nous sous-tend le subconscient et l’inconscient. L’instance de ce qui est non conscient chez nous, c’est notre corps dont on sait à quel point il oeuvre le plus souvent à notre insu. Mais ce corps - ce qui inclut aussi bien l’utérus que le cerveau, qui sont des organes sur lesquelles nous n’exerçons qu’une emprise relative - est dépendant du travail de l’esprit, lequel se décharge sur le corps de certaines taches ancillaires, ingrates et répétitives, c’est ce que l’on appelle le passage en conduite automatique. Il faudrait donc parler d’une dimension corporelle plutôt qu’inconsciente dès lors que nous portons notre inconscient en nous. Ce que notre esprit a oublié, notre corps s’en souvient, l’a retenu et cela oeuvre en nous. Il faudrait donc parler d’une conscience corporelle plutôt que d’un inconscient ou d’un subconscient, par opposition à une conscience spirituelle. Mais c’est l’esprit qui structure notre corps et non pas l’inverse, c’est la conscience spirituelle, psychique, qui génère la conscience corporelle, somatique. Sans rétablir la dialectique du corps et de l’esprit, il ne nous semble pas possible d’offrir un modèle satisfaisant pour rendre compte et expliciter le phénomène astrologique et certainement pas lui seulement.

   Il est, au demeurant, utile que le modèle que nous préconisons ne soit pas celui en vigueur car, comme l’a noté le chercheur australien Geoffrey Dean5, la connaissance de certaines notions astrologiques, dans le public, peut influer sur son comportement et donc fausser les résultats. Cela dit, une telle connaissance est d’ordre intellectuel, c’est-à-dire que cela ne signifie nullement une observation directe du ciel mais le recours à certaines informations en circulation. Or, selon nous, les processus subconscients ne peuvent se mettre en place que s’il y a une perceptibilité directe des objets célestes concernés non plus par l’intellect mais par les sens, ce qui exclue ipso facto le rôle de Neptune ou de Pluton ou des astéroïdes. Deux thèses sont donc bien en présence : l’une qui veut que l’influence des astres s’exerce à notre insu, c’est-à-dire inconsciemment et l’autre, celle que nous soutenons, qui est celle d’un Inconscient relatif, c’est-à-dire qu’une partie de nous-mêmes repère des configurations visibles à l’oeil nu, selon divers signes que notre organisme est en mesure de détecter et de coordonner tandis qu’une autre partie, celle de notre esprit, de notre intellect cérébral, est inconsciente de ce processus ou plus exactement n’en est plus consciente et a passé le relais à une gestion corporelle, voire utérine, si l’on admet que l’utérus pourrait être une sorte de cerveau de l’inconscient, comme les travaux de Gauquelin le laissent entendre en raison du repérage natal voire prénatal des positions planétaires de certains astres - dont aucune planète transsaturnienne, ce qui vient confirmer notre élimination des transsaturniennes, point sur lequel nous pensons être également en désaccord avec Alain Nègre, parmi bien d’autres. Il nous semble, en tout cas, important que les adversaires de l’astrologie soient au courant de ce différend entre penseurs de l’astrologie car l’argumentaire des uns et des autres ne se recoupe que très partiellement.

Jacques Halbronn
Paris, le 2 juillet 2004

Notes

1 Cf. Entre Science et Astrologie. Vers une nouvelle unité paradoxale, Paris, SPM, 1994. Retour

2 Cf. nos études sur l’eugénisme, rubrique Hypnologica, Encyclopaedia Hermetica. Retour

3 Cf. nos travaux sur l’astrologie axiale, sur Encyclopaedia Hermetica, rubrique Astrologica. Retour

4 Cf. notre étude “l’astrologue, gardien du Surmoi”, parue dans La Lettre des Astrologues. Retour

5 Cf. nos discussions sur Encyclopaedia Hermetica, rubrique Astrologica. Retour



 

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