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ASTROLOGICA

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L’astrologie et le mélange des genres

“Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?”
par Jacques Halbronn

    L’astrologie nous apparaît comme un révélateur privilégié du clivage masculin/féminin et inversement nous ne pensons pas que l’on puisse saisir l’état de l’astrologie sans recourir à une telle grille sexuée. Au demeurant, les astrologues ne prétendent pas que l’on puisse déterminer si un thème natal est celui d’un homme ou d’une femme mais savent-ils ce qui distingue l’homme de la femme ? Une certaine astrologie ne peut d’ailleurs fonctionner que par un apport extra-astrologique et plus l’astrologue peut accéder à un tel apport et plus il pourra donner une image attractive de l’astrologie.

   Nous avons abordé plus d’une fois le problème de cette dimension féminine qui plombe une astrologie qui mange à tous les râteliers.1 Nous ne pensons pas qu’Elizabeth Teissier, dans sa thèse de sociologie2 ait considéré cet aspect des choses et il n’est d’ailleurs pas exclus que ce soit là un point aveugle. On rappellera brièvement que pour nous le féminin ne s’insurge pas contre la diversité et tend à tout intégrer, d’une façon ou d’une autre, l’ennemi étant précisément celui qui n’est pas tolérant. La femme ne tolérerait pas l’intolérance, le rejet - il faut de tout pour faire un monde pourrait être sa devise - alors que l’homme supporterait mal la confusion et la disparité - l’adage “on ne mélange pas les torchons et les serviettes”, pourrait être la sienne. L’homme est immoral - ses choix peuvent être draconiens et changer à 180° - la femme est amorale - elle peut accepter simultanément une chose et son contraire. La femme a du mal à s’en tenir à une position excluant les autres, elle est dans le “cela n’empêche pas que” là où l’homme perçoit des incompatibilités, ce qui peut le conduire, il est vrai, à un certain sectarisme s’il n’est pas capable de changer de cap quand il le faut. L’homme assume ses contradictions dans le temps, la femme dans l’espace.

   La lecture des revues commerciales d’astrologie est édifiante et il conviendrait de comparer leur contenu sur plusieurs décennies pour cerner quelque évolution. Le cas de la revue Astres est probablement le plus remarquable.3 Si la revue Horoscope, en effet, ne comporte quasiment aucun nom d’astrologue en dehors de celui de Béatrice Guénin qui est charge du “Courrier Astro” (n° 654, Septembre 2004), la plupart des articles étant anonymes et les annonces d’astrologues étant absentes, laissant toute la place à celles de voyants, en revanche, la revue Astres (n° 677, septembre 2004), à l’ancienneté à peu près équivalente, mélange allègrement astrologues et voyants, dans une belle promiscuité. C’est ainsi qu’à la page 125, on peut lire : “Depuis 1948, les meilleurs astrologues sont dans Astres et ce n’est pas un hasard : Martine Garetier... Isabelle Hubert... Régine Ruet... Annie Lachéroy... Jany Bessière… Catherine Aubier... Michael Mandl... Demian Mchall... Dan Martin.” La plupart de ces astrologues, en très grande majorité des femmes, ont une annonce dans la dite revue, souvent à côté de celle d’une medium, d’un guérisseur souvent africain (pp. 57, 59, 81, 83, 95, 133 etc). A la page 5, le sommaire de la revue Astres énumère bel et bien les articles avec leurs auteurs.

   C’est un paradoxe que nous avions observé depuis longtemps que ces revues d’astrologie - leurs articles sont presque exclusivement centrés sur l’astrologie - et qui comportent une énorme majorité d’annonces de non astrologues dont les activités ne correspondent à aucun article de fond dans les dites revues. En revanche, la revue Quel Avenir Magazine comportent aussi bien des articles d’astrologie jamais signés que sur d’autres sujets, la promiscuité y est à son comble, même si l’accent principal reste mis sur l’astrologie, notamment sur la couverture (n°182, Août-septembre 2004). A contrario, la revue Astrologos, le magazine de l’astrologie, de Pascale Bergeron, n’accueille aucune annonce de non astrologues.

   Le cas de la revue Astres est donc de loin le plus frappant de par le renom des astrologues tout à fait honorables qui y écrivent et qui sont reconnus par le milieu astrologique associatif, celui des colloques et des maisons d’édition, lesquels astrologues cohabitent avec des personnages pas toujours très recommandables. Il y a là un certain mystère dans la mesure où, a priori, les gens achètent une revue pour lire ses articles et non pas pour relever ses adresses. Eh bien, on peut ici en douter et conclure que deux lectorats se croisent : les amateurs d’astrologie qui y trouvent leur compte et les fervents de magie et de pratiques divinatoires les plus diverses qui sont gâtés au niveau des annonces. Une telle ambiguïté ne caractérise-t-elle pas le statut social de l’astrologie et de l’astrologue ?

   Il convient de souligner, par ailleurs, la prédominance féminine de ce type de publications. Dans le hors série Maxi Astro, paru durant l’Eté 2004, aux Editions Bauer, sans que cela soit précisé sur la couverture, le principal article d’astrologie, signé Fabrice Pascaud, s’adresse exclusivement aux femmes : “Toujours aussi déterminée (p.6)... Vous êtes entreprenante (p. 8)... Sûre de vous (p. 22)... Combative (p. 34)... Active et entreprenante (p. 38) etc.”

   Nous avons souvent dit que l’astrologie s’était sensiblement féminisée et ce non seulement quant à son public mais dans son esprit, dans sa façon de se présenter que l’on pourrait qualifier de très libre, avec ce que cela peut entraîner de promiscuités et de voisinages douteux. Ce n’est pas d’hier que des astrologues “sérieux” ne dédaignent pas de figurer, de s’afficher, pour des raisons parfois alimentaires, dans un environnement problématique pour l’image de l’astrologie, puisque l’assimilant implicitement à toutes sortes de pratiques divinatoires dont elle ne serait dès lors plus qu’une variété parmi d’autres. On nous répondra qu’il faut bien vivre et que telles sont les conditions - mal nécessaire - à remplir pour rentabiliser telle revue. Certes, mais nous y voyons là quelque chose d’emblématique, à savoir ce que nous avons appelé l’absence de discrimination, pour le meilleur comme pour le pire, chez la gent féminine laquelle a l’occasion de manifester à propos de l’astrologie une indifférence aux clivages de tous ordres, tant intellectuels que culturels ou sociaux.

   D’ailleurs, la consultation astrologique offre a fortiori une occasion encore plus remarquable de promiscuité, puisque elle met l’astrologue en contact direct avec une certaine clientèle qui peut tout à fait par ailleurs fréquenter d’autres types de praticiens aux méthodes éloignées de l’astrologie mais qui ont eux aussi pignon sur rue et “consultent”, eux aussi. Bien plus, comme le reconnaissent bien des astrologues, l’astrologue est sollicité pour traiter de questions qui ne correspondent pas nécessairement à l’idée qu’il se fait des limites de l’astrologie et auxquelles il ne peut pas toujours se dérober. Là encore, il est probable que les femmes astrologues se font une raison et ne souffrent pas outre mesure d’un certain mélange des genres, avec peut être l’excitation de s’encanailler.4 Le seul fait que le théme astral implique une combinatoire de signes et de planétes et ne s’articule pas sur un message simple et univoque où un seul facteur serait actif, les autres notions ne jouant qu’un rôle de repère, est déjà tout un programme !

   On dira même que les astrologues qui ne se sont pas quelque peu “prostitué” ne sont pas considérés comme des astrologues à part entière et on leur fait payer leur virginité en se hâtant de les disqualifier quant à leur expérience de l’astrologie, surtout s’ils se mettent à cracher dans la soupe ! On sait à quel point la tentation est souvent forte de faire connaître à autrui, sinon de lui imposer, nos expériences les plus pénibles voire les plus traumatisantes.

   La structure du milieu astrologique fait qu’il est bien difficile à un astrologue de vivre de l’astrologie sans passer sous les fourches caudines d’une certaine promiscuité sociale et intellectuelle. Ce milieu ne s’est en effet pas (encore) donné les moyens d’entretenir des chercheurs au moyen de taxes ou dîmes.

   Quid de l’enseignement astrologique, échappe-t-il à un tel sort ? Nous ne le pensons pas. Parmi les clients de l’astrologie, les plus problématiques sont en effet probablement ceux qui suivent des cours d’astrologie et qui sont dans leur très grande majorité des femmes, ce qui n’est probablement pas l’effet du hasard.5

   Parmi ces élèves, on trouve toutes sortes de profil, en raison de l’absence de sélection par les diplômes et là encore on ne va quand même pas refuser du monde! Pour les élèves, en tout cas, il y a un fort risque de promiscuité dans la mesure même où un enseignement se déroule généralement en groupe. Il est à parier que cela peut déjà décourager certaines vocations quand des auditoires sont aussi mêlés. En fait, toute réunion astrologique - du cours au colloque en passant par la conférence - pose le problème de la promiscuité sociale, intellectuelle : cela se manifeste notamment par la diversité des questions posées par la salle. Un des rares critères de sélection semble être l’argent - c’est-à-dire le prix des prestations - qui peut se révéler un facteur dissuasif, un autre l’intitulé des exposés ainsi que des ouvrages, plus ou moins populaire ou distingué. Il semble que les sujets choisis par les astrologues hommes - traitant des principes et des fondements de l’astrologie - diffèrent de ceux choisis par les astrologues femmes - traitant de ses applications et de ses techniques.. Il est clair que telle formulation qui attire les uns aura pour effet de repousser, de faire fuir les autres et vice versa : on ne saurait plaire à tout le monde. Encore que l’on puisse justement se demander jusqu’à quel point l’astrologie ne serait pas un lieu de brassage social comme le serait la télévision.6

   Notre diagnostic pourra certes paraître simpliste mais nous pensons que les femmes ont une façon à elles de parler et de traiter (de) l’astrologie qui n’est pas celle des hommes. On trouve chez nombre d’astrologues une indifférence à toute considération historique: ignorance du décalage précessionnel tout en acceptant l’ère du verseau, ignorance de la découverte des nouvelles planètes et du caractère récent de leur intégration récente dans le dispositif des domiciles planètes : l’astrologie est perçue comme un ensemble intemporel et d’un seul tenant, objet non identifié abandonné par quelque vaisseau cosmique, livré sur un plateau et dont il suffirait de se servir; sans trop se poser de questions. Souvent les femmes sous estiment les problèmes posés par l’astrologie à notre société, elles les minimisent et ce faisant elles en réduisent d’autant l’impact dans le public, sinon au niveau quantitatif du moins au niveau qualitatif, ne se rendant pas bien compte que l’humanité ne serait pas ce qu’elle est si elle ne faisait pas montre d’une certaine exigence intellectuelle ne se réduisant pas à quelque empirisme aux antipodes du cartésianisme. Quand les femmes ont affaire à un savoir masculin, une telle indifférence est sans grande conséquence et on peut se contenter d’appliquer ; en revanche, quand le masculin n’a pas joué son rôle dans la mise au point d’un savoir, les femmes agissent à l’identique.

   Le milieu astrologique est-il menacé de scission - celle des hommes et des femmes astrologues notamment - du fait de la disparité de ses approches ? Jusqu’à présent, une classe moyenne a fait le grand écart entre des niveaux de formulation sensiblement différents au regard des différents critères existants, notamment sur le plan académique. En ce sens, l’astrologie nous apparaît comme un révélateur pertinent de l’état des strates d’une société. Il semble ainsi qu’en Angleterre, la conflictualité entre les diverses facettes de l’astrologie soit ressentie de façon moins aiguë qu’en France, ce qui d’ailleurs rend parfois assez difficile le dialogue entre astrologues de différents pays, qui n’ont pas les mêmes repères. Là où pour l’intelligentsia astrologique française, certaines présentations des choses sembleront contre productives, elles paraîtront acceptables Outre Manche. Cette différence tient selon nous à une différence de structure des deux sociétés se reflétant sur le plan de l’astrologie. On pourrait dire aussi que l’astrologie française est malgré tout plus masculine que l’astrologie anglo-saxonne : des auteurs, à la suite d’un Paul Choisnard, - avant et après la Première Guerre Mondiale - comme Michel Gauquelin, Jean-Pierre Nicola, tous deux nés en 1929, qui animèrent notamment le Colloque MAU de mai 1978, sur Astrologie et Science7, il y a plus d’un quart de siècle, ont tenté de mener à bien, par des voies par ailleurs bien différentes et avec les limites qui étaient les leurs; une certaine décantation de la tradition astrologique. On sait à quel point l’essor de l’informatique en milieu astrologique aura plutôt poussé en sens inverse, favorisant une certaine pléthore de techniques que l’économie de temps avait précédemment mises sur la touche ainsi qu’amené à l’astrologie des personnes qui s’en tenaient éloignés du fait de calculs assez ardus et dévoreurs de temps. L’informatique aura ainsi augmenté le nombre des autodidactes de l’astrologie, se dispensant de suivre un enseignement oral et en groupe et aura permis de faire entrer la dite astrologie dans le cabinet du voyant - ne serait-ce qu’en tant que support à partir du mandala-carte du ciel - d’autant que l’informatique, depuis Astroflash en 1968, proposait aussi, outre l’érection automatique de la carte du ciel, des interprétations de thèmes, souvent programmées par des astrologues reconnus - des chefs dirait-on en cuisine - comme André Barbault et Jean-Pierre Nicola. Avec l’informatique dans le champ de l’interprétation du thème, le contact entre l’astrologue et son client changerait de nature et, par la force des choses, l’astrologie tendrait à se radicaliser puisque ne pouvant s’appuyer sur des informations non astrologiques ou sur quelque feed-back fourni, consciemment ou non, par le client.

   Sans les femmes, l’impact actuel de l’astrologie ne serait certainement pas ce qu’il est et inversement sans l’astrologie, la cause féminine serait probablement davantage sur la défensive car l’astrologie constitue bel et bien un pôle de contre-culture.

   Pour notre part, nous pensons qu’il existe trois astrologies correspondant à des enjeux épistémologiques bien distincts et il serait fâcheux de chercher à leur trouver, à tout prix, quelque dénominateur commun : l’une est d’ailleurs liée à la mère et au thème natal et s’articule autour d’une typologie planétaire, une autre serait plutôt masculine et serait une astrologie du Temps et d’un temps d’abord collectif et s’articule sur une seule planète déterminant une succession de phases par ses aspects avec un point gamma. En fait, la femme n’a pas pleinement intégré la dimension du Temps, ce qui la conduit à renoncer à faire des choix - car l’existence de phases implique certaines polarisations, une certaine alternance - mais c’est aussi ce qui la conduit - attirance des contraires - vers l’astrologie, en tant précisément que fournisseuse, génératrice de temporalité. Le Temps relativise les clivages sociaux, ethniques et autres, sa structure mettant d’abord en évidence les changements de phase. L’Espace, en revanche, fait ressortir les typologies socioprofessionnelles. Paradoxalement, les femmes, aujourd’hui, si elles acceptent les catégories planétaires et zodiacales rechignent à distinguer radicalement les hommes et les femmes, comme si à force d’insister sut les dites catégories, on pouvait relativiser l’importance de la sexuation.

   La troisième astrologie enfin, plus récente n’existe que dans le cadre d’une culture astrologique d’ailleurs non stabilisée, comme le montre l’attraction vers les nouvelles planètes ; on peut y inclure la théorie des ères précessionnelles et en tout cas le mythe de l’ère du Verseau, largement fabriqué par les astrologues modernes non sans une certaine réussite. Une astrologie qui relève plus de l’Art voire de l’artifice que de la science et où les apparences, la mise en scène, la théatralisation, le trompe l’oeil, les faux semblants ne durent, ne valent que le temps, l’espace d’une représentation, c’est-à-dire d’une consultation. Cette troisième astrologie, artistique, occupe beaucoup trop de place et fonctionne sur d’autres bases que les deux premières, scientifiques, au niveau du conscient bien plus qu’au niveau subconscient. On se doute que le personnel des deux premières astrologies, plus froides, marquées par une certaine austérité, n’est pas le même que celui de la troisième, plus spectaculaire, plus chaude. Là encore, l’astrologie ne ferait que révéler la dualité conscient/subconscient qui marque nos sociétés depuis bien longtemps, c’est-à-dire en ce qui est déjà intégré dans l’Inconscient Collectif et ce qui ne l’est pas encore et ne le sera peut-être jamais dans la mesure où les conditions d’un basculement du conscient vers l’inconscient ne sont plus réunies. C’est dire en tout cas à quel point l’astrologie est un outil privilégié pour la sociologie. Il semble que dans sa thèse Elizabeth Teissier n’ait finalement traité que de l’astrologie du troisième type ou plutôt qu’elle ait voulu élaborer - ce qui nous semble une gageure - un modèle valable pour ces trois modes de rapport entre les hommes et les astres correspondant à l’espace social, au temps social et à l’espace-temps individuel. Il est clair que l’astrologie individuelle, stricto sensu, reflète un certain statut de l’individu dans nos sociétés en opposition avec une astrologie “sociale” où le projet astrologique s’origine, et qui instrumentalisait les astres - et uniquement selon ses besoins somme toute limités et sur la base d’un savoir astronomique lui aussi relativement restreint mais encore à élaguer - pour fonder un consensus organisationnel. Les tentatives pour démontrer l’unité du champ astrologique - comme du champ nostradamique8 - ne pourraient que conduire à des généralités sur l’influence globale du cosmos et minimiser sérieusement le rôle éminemment créatif de l’humanité quant à toute programmation astrale qui ne se réduirait pas à la seule “condition solaire” pour reprendre le titre d’un ouvrage de J. P. Nicola, paru dans les années Soixante.

   A partir d’un certain moment, astronomie et astrologie ne firent plus bon ménage ou si l’on préfère le métier d’astronome ne sembla plus compatible avec celui d’astrologue - comme c’était encore le cas au début du XVIIe pour un Kepler ou pour un Galilée.9 L’astrologie a subi, selon nous, l’effet d’une évolution épistémologique qui est le fondement de la science moderne, à savoir la conscience de plus en plus aiguë de ce qui ne peut pas coexister, en termes de doctrines, de théories, à l’instar du corps humain qui se protège contre toutes les formes d’agression et d’intrusion.

Jacques Halbronn
Paris, le 16 septembre 2004

Notes

1 Cf. nos études sur Encyclopaedia Hermetica en ligne, rubrique Astrologica. Retour

2 Parue sous le titre L’homme d’aujourd’hui et les astres. Fascination et rejet, Paris, Plon, 2001. Retour

3 Cf. sur les origines de cette revue La vie astrologique années trente-cinquante, Paris, ed. Trédaniel, 1995. Retour

4 Cf. notre “Astrologer meets client : Tricks of the trade” en anglais, Encyclopaedia Hermetica en ligne, rubrique Astrologica. Retour

5 Cf. Le guide astrologique, Paris, Ed. Olivier Laurens, 1997. Retour

6 Cf. Bernard Lahire, La culture des individus. Dissonances culturelles et distinction de soi, Paris, Ed. La Découverte, 2004. Retour

7 Cf. Guide de la Vie Astrologique, Paris, Trédaniel, 1984. Retour

8 Cf. nos études sur Espace Nostradamus. Retour

9 Cf. N. Campion et N. Kollerstrom, “Galileo’s Astrology”, n° spécial de Culture and Cosmos, Vol. 7, 1, Spring/Summer 2003. Retour



 

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