Cahiers Kabbalah N° 5

Cahiers Kabbalah N° 5

Sommaire

   N os leçons ne visent pas tant à enseigner à parler hébreu qu'à donner au néophyte l'habitude du Langage hébraïque, lui permettant de comprendre son génie, puis nos Textes.

Plusieurs siècles avant les romans de science-fiction, telle La Machine à remonter le Temps de l'écrivain anglais Herbert G. Wells, nos anciennes Aggadoth décrivaient notamment des voyages temporels, écartant cette idée conventionnelle du Temps qui est celle d'une voie uni-dimensionnelle, et permettaient de nous glisser discrètement dans le Passé ou dans le Futur.

De nombreux Kabbalistes du Moyen-Age avaient pris la défense de l'Astrologie, quant ils n'étaient pas eux-mêmes Astrologues, d'où la nécessité de l'étude des Astres.

Quelques rabbins initiés ont abordé ces deux branches de la « Philosophie hermétique » : Le Récit de la Création et le Récit du Char divin. Leurs disciples étaient triés sur le volet. Si nous ne possédons plus aujourd'hui des exposés complets des ces Enseignements secrets, nous pouvons glaner dans les récits du Talmud et du Midrash plusieurs idées fondamentales.

Chaque mot hébreu traduit une certaine puissance potentielle. La Mystique des Lettres est longuement développée dans la littérature talmudique et kabbalistique.

La 1ère édition du Sépher Yetsirah fut celle de Mantoue, publiée en 1565. Les Séphiroth sont des Emanations de la Divinité conçues par les Kabbalistes comme des Entités dynamiques. Elles désignent les Attributs du Dieu transcendant.



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