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PALESTINICA

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Transgression palestinienne
et mythe arabo-musulman de l’irréversible

par Jacques Halbronn

    La constitution des empires est une donnée essentielle de l’Histoire des peuples mais c’est souvent la cause de bien des souffrances tant pour les dominants que pour les dominés.1 Le processus impérial est par essence utopique, c’est-à-dire qu’il correspond à une topographie (topos, lieu en grec) fantasmée, à un dépassement qui peut avoir ses avantages mais qui ne saurait se perpétuer indéfiniment ou qui devrait en tout cas passer par une certaine cyclicité, c’est-à-dire l’acceptation d’un reflux, même temporaire qui permet de savoir qui est qui, c’est-à-dire qui est l’autre.2

   Il y a autre et autre : pour les russes, l’autre, c’était les Occidentaux et non pas leurs satellites d’Europe de l’Est. Pour les Ottomans, les autres, c’était les Chrétiens hors de l’Empire. Jusqu’au moment où les autres ce furent les populations dominées par les dits Empires et non pas seulement et d’abord les autres empires. Le combat entre empires conduit, en effet, à occulter ce qui se passe au sein de chacun de ces empires. C’est précisément quand les empires ne s’affrontent pas qu’ils tendent à s’écrouler, à imploser. Les empires sont les prisons des peuples, dit-on. Tôt ou tard, les peuples placés sous la chape d’un empire voudront s’en libérer ou quand ils ont été chassés, voudront retrouver leur place, quand bien même les pistes seraient quelque peu brouillées.

   Un des rares empires autour de la Méditerranée à ne pas avoir su réaliser son repli sur ses bases est celui qui s’est formé à partir du VIIe siècle de notre ère, et que l’on désigne généralement de nos jours sous le terme de “monde arabe”. Pourtant, le XXe siècle fut pour lui l’occasion d’une mise à plat de sa structure et de ses limites, lors du démembrement de l’empire ottoman et de l’émergence du fait sioniste : celle-ci fut largement refusée et cela tient notamment à ce que nous appellerons le mythe arabo-musulman de l’irréversibilité. En cela, le monde arabe est en décalage avec le post-impérialisme environnant, qu’il s’agisse des Turcs, des Autrichiens, des Espagnols, des Portugais, des Français, des Hollandais, des Britanniques et d’autres encore qui ont liquidé leurs empires, n’en gardant parfois que des miettes Outre Mer et en pleine connaissance de cause. Car le problème d’un empire, c’est de perdre conscience du fait impérial qui le constitue plus encore que la question de sa réalité.

   Que se passe-t-il quand un empire se défait ? La puissance dominante se retire sur son périmètre d’origine et les pays dominés retrouvent leur indépendance et leur identité spécifique. Tel est du moins le principe. Mais la chose n’est pas toujours aisée et il nous revient ainsi d’examiner quelles sont les séquelles, à court et à long terme, du processus impérial.

   Chaque conquête génère toute une série de transferts de population : celui de ceux qui vont se déplacer pour occuper le nouveau terrain, celui de ceux qui devront éventuellement s’exiler, chassés de leur patrie et celui de ceux qui devront repartir vers leurs bases initiales, une fois qu’ils auront été refoulés, l’invasion ayant fini par être refoulée. Bref, de nombreux drames humains sont issus de ce dépassement des frontières. C’est ainsi que la vie des Russes en Lettonie n’est pas facile, eux qui étaient arrivés avec la domination russe et qui se trouvent désormais en porte à faux par rapport à la population autochtone.

   L’Empire, c’est le rêve d’une fin de l’altérité, de son dépassement. Tout messianisme prône la fin des dualités, des clivages et en ce sens, nous vivons aujourd’hui dans une telle optique d’abolition ultime des différences, des inégalités.

   Pourtant, le besoin de la présence de l’autre est parfois si urgent que nous sommes obligés de générer cet autre : s’il n’existe pas, il faut l’inventer. C’est ainsi que l’Europe Chrétienne aura “inventé”, au XVIe siècle, le protestantisme, ce qui causa les guerres de religion. Même au sein de populations relativement homogène sur le plan linguistique, ethnique, religieux, des clivages sont apparus, notamment entre la métropole et ses colonies, un cas remarquable étant celui de l’indépendance des Etats Unis, favorisée d’ailleurs par la France, à la fin du XVIIIe siècle.

   Cette France qui favorisa également, au XIXe siècle, l’autonomisation du Maghreb par rapport à l’empire ottoman mais plus encore par rapport au monde arabe. On observera que peu après la décolonisation - l’Algérie devient indépendante en 1962 - qui sera perçue comme une victoire du dit monde arabe, éclata la Guerre des Six Jours (1967), du fait de la volonté affichée d’un Nasser d’envahir Israël, toujours au nom du panarabisme. Une Algérie dont la dimension berbérophone légitimait au demeurant qu’elle affirmât sa différence. Sans le repli français, peut-être que les Arabes auraient moins été tentés de mettre la main sur Israël.

   Le cas palestino-israélien est emblématique d’un refus de l’altérité de la part du monde arabe mais aussi d’un refus du reflux, qui se manifeste aussi dans les difficultés à organiser l’alternance dans la vie politique arabe voire dans une difficulté à conférer une vraie place à la femme dans l’espace social.

   On nous dit que ce serait infernal si chacun venait réclamer à des siècles de distance de pouvoir retrouver, réintégrer son lieu d’origine. Mais le fait en pratique n’est pas si fréquent et seules les tentatives les plus motivées, dans tous les sens du terme, parviennent à leur fin. En ce qui concerne les juifs, leur retour s’articule sur de nombreux paramètres: religieux, historique, sociologique, anthropologique. Les deux premiers sont assez évidents, le troisième est le fait de l’antisémitisme qui rend la vie des Juifs en de nombreux endroits assez invivable. A cela vient s’ajouter une cause anthropologique, à savoir le fait que les Juifs jouent un rôle spécifique dans le monde moderne et ne sont donc pas une quelconque population parmi d’autres.

   La percée des Juifs dans le champ des sciences sociales et plus généralement des Sciences de l’Homme n’est-elle pas la preuve que les Juifs n’appartiennent pas à un passé depuis longtemps révolu ? La création de l’Etat d’Israël tout comme la forte présence des Juifs dans le domaine des sciences de l’Homme témoignent de la vitalité, de l’élan du judaïsme moderne, comme en un nouveau souffle. Ce qui va quelque part à l’encontre, est un désaveu de la thèse musulmane visant à disqualifier les Juifs et affirmant que leur mission est caduque. Or, une telle tentative de dépossession3 n’est-elle pas le fait d’un impérialisme religieux complétant, prolongeant, sous-tendant un impériaslisme politique ? Autrement dit, le monde arabo-musulman aurait accompli une sorte de razzia non seulement sur le présent mais aussi sur le passé, commettant une sorte de hold up, une OPA sur tous les acquis religieux du judaïsme et du christianisme.

   Double impérialisme donc que celui du monde arabo-musulman qui impliquerait en contre partie, à terme, un double deuil, à savoir renoncer à disqualifier l’autre et à le spolier, en reconnaissant que l’Islam ne remplace pas le judaïsme ni les Juifs mais en est tout au plus le prolongement dans des terres non christanisées. Il semble donc inacceptable que l’Islam ait voulu s’imposer dans le monde chrétien dont la Palestine faisait partie, autour notamment de Jérusalem, au même titre d’ailleurs que Constantinople.

   Il est assez surréaliste de voir les discussions sur les empiétements du Mur israélien délimitant le périmètre palestinien quand on considère l’ampleur des débordements de l’empire arabe, dans cette même région. Il reste que le partage de la Palestine semble bien avoir correspondu, dans les années Trente-Quarante, à une certaine acceptation de l’autre et à un repli symbolique. Le seul fait d’admettre qu’il puisse exister un Etat Juif, aussi étriqué soit-il par ailleurs, avec une minorité arabe qui, implicitement, se trouvait donc hors des limites du monde arabe, constituait un progrès. Mais on sait que le plan de l’ONU de 1947 fut rejeté par les arabes. Le fait que la Cisjordanie récupéra tout de même in fine, peu après, une partie de cet Etat arabe de Palestine n’eut plus la même signification, et ce d’autant que ne fut pas crée pour autant dès lors un Etat arabe de Palestine, au delà de la frontière naturelle du Jourdain, la Cisjordanie n’apparaissant plus dès lors que comme une excroissance du monde arabe et non comme la tolérance d’une présence arabe au delà du limes romain, tout comme l’Alsace était une présence germanophone au delà du Rhin, autre borne du dit empire romain. C’est le principe de l’exception qui confirme la règle.

   En d’autres termes, la création d’un Etat palestinien, sur la rive occidentale du Jourdain ne pourrait être admise que si elle a pour corollaire, paradoxalement, la reconnaissance du Jourdain comme frontière du monde arabe. En ce sens, l’entité palestinienne serait acceptée mais en tant que transgression, dans tous les sens du terme,. un tel état de transgression pouvant impliquer la limitation de certains droits et notamment pour les arabes se situant dans l’Etat Juif de Palestine et qui eux sont dans une double transgression, du fait que non seulement ils se trouvent du “mauvais” côté du Jourdain mais qu’en plus ils se situent dans l’Etat Juif constitué sur une partie seulement de cette rive.

   Il faudrait en effet savoir choisir entre les considérations humanitaires et les exigences politiques. D’un côté on nous parle de populations qu’il ne faudrait pas déraciner mais de l’autre, on veut aussi pour ces populations qu’elles soient traitées sur un pied d’égalité. Quelque part, ces populations relèvent d’une forme d’immigration, certes fort ancienne, mais qui ne fait sens que dans une perspective impériale d’extension illimitée de l’empire arabe.

   Or, si un empire a une certaine légitimité, en quelque sorte darwinienne, au moment où il se met en branle, ce n’est plus le cas des siècles après que cet élan s’est éteint. Face à ceux qui affirment que les revendications juives sur la Palestine sont caduques du fait du temps qui s’est écoulé, on répondra que la présence arabe en Palestine n’est plus tolérable en ce que l’Empire arabe est de l’histoire ancienne. Nous sommes là dans un certain anachronisme.

   L’on voit à quel point il est urgent d’élaborer un modèle relatif au phénomène impériale et d’en cerner les tenants et les aboutissants.

1/ C’est un phénomène limité dans le temps qui peut déterminer un transfert de population.

2/ Tôt ou tard, il y aura reflux, ce qui peut impliquer un transfert de population en sens inverse.

3/ Au delà de la période d’élan impérial porteuse d’une certaine dynamique, le processus impérial n’est plus légitime et plus le temps passe, moins il l’est.

4/ Les populations qui ont du subir cette invasion impériale gardent indéfiniment leurs droits à revendiquer de reprendre le contrôle de la région concernée, dès lors qu’elles ne disposent d’aucun autre territoire qui leur aurait été accordé entre temps.

   C’est sur ce point 3 qu’il faut insister : la légitimité d’une présence impériale diminue avec le temps et non pas se renforce car elle n’a plus de contrepartie. Ce qu’on accepte d’un être jeune, on ne l’accepte plus d’un vieillard et l’empire arabe est un vieillard.

   Sur le point 4, nous dirons que ce qui légitime la présence juive en Palestine, c’est précisément le fait qu’en restant dispersée, et du fait de cette diaspora, elle n’a nullement renoncé à ses droits sur cette région. Nous percevons la dispersion comme un état d’attente et comme une revendication non éteinte. C’est d’ailleurs un tel principe qui explique qu’une partie des arabes Palestiniens vivent dans des camps. Le problème, c’est qu’ils appliquent un principe qui ne vaudrait pour eux que si ceux qui avaient pris possession de la Palestine n’avaient pas justement été... des Juifs. Dès lors que ce sont des Juifs avec les droits inaliénables qui sont les leurs sur cette terre, les arabes palestiniens n’apparaissent plus que comme les vestiges d’un empire arabe ayant depuis des siècles perdu sa dynamique, notamment du fait du joug ottoman et du joug occidental encore que ce joug ne soit lui-même que le corollaire de l’affaiblissement du dit empire bien plutôt que sa cause.

   Mais cette présence juive, on le sait, ne constitue pas uniquement un enjeu territorial mais doit être située par rapport à l’autre facette de l’impérialisme arabe, lequel est d’ordre religieux et qui affecte également, pour d’autres raisons, le judaïsme. C’est pourquoi la question de Jérusalem est si importante en ce qu’elle conjugue les deux aspects du problème, le politique et le religieux.

   Une des raisons qui pourrissent les relations entre Juifs et Arabo-musulmans, tient en effet à l’idée que les arabo-musulmans se font des Juifs en ajoutant que les arabes chrétiens n’ont pas nécessairement un discours plus satisfaisant sur les Juifs. C’est l’attitude des Chrétiens envers les Juifs qui aura déterminé celle des Musulmans, à savoir l’affirmation selon laquelle les Juifs auraient démérité ou auraient été dans l’erreur, dans l’aveuglement. Ce thème qu’il faut bien qualifier d’anti-juif fut repris et reformulé par les Musulmans.

   L’idéologie de l’irréversibilité ne se conçoit que dans l’affirmation prochaine de la fin des temps, c’est un thème typiquement messianique. Il conviendrait de faire le deuil d’un tel messianisme se maintenant indéfiniment en dépit d’une fin des temps qui n’est toujours pas là et d’un monde qui n’en “continue pas moins à tourner”, pour reprendre la formule de Galilée. Ce monde qui n’a cessé de tourner implique qu’on ne puisse arrêter cette dialectique du flux et du reflux tout comme on ne peut pas empêcher que d’autres empires se constituent à leur tour.

   Or nous savons ce qu’a d’utopique toute affirmation d’un flux irréversible. Si sur le plan strictement territorial, il y a toujours des limites concrètes qui relativisent de telles ambitions (d’où l’expression de dar al Harb pour désigner le monde non encore islamisé), en revanche, sur le plan intellectuel ou spirituel, on ne peut pas empêcher quelqu’un de délirer et d’affirmer son point de vue. C’est un peu ce qui s’est passé avec les allégations de l’Islam quant au dépassement des religions monothéistes qui l’ont précédé, ce qui s’est traduit socialement par le statut de dhimi concernant les juifs et les chrétiens vivant en “terre d’Islam” (dar al Islam), terme qui en réalité désigne l’empire arabe.

   Il y a d’ailleurs un point aveugle dans la perception qu’a le monde arabe du reflux islamique, c’est que celui-ci concerne aussi bien les revers subis par l’empire ottoman et dont apparemment le monde arabe n’est pas disposé à tirer les conséquences. On nous parle d l’Andalousie mais on nous parle pas du repli musulman des Balkans (Grèce, Yougoslavie), de Hongrie ainsi que des pays bordant la Mer Noire comme la Roumanie. Voilà bien qui montre que l’Islam n’a pas échappé au reflux. En se distançant des malheurs européens de l’empire ottoman, le monde arabe tente de garder intacte sa foi. Or, l’empire ottoman, quelque part, était le prolongement de l’empire arabe et d’ailleurs, avait admis le retour des Juifs en Palestine, sous la houlette française, ce qu’atteste la date de fondation de plusieurs localités aujourd’hui israéliennes comme Petah Tikva, au nord de Tel Aviv. Théodor Herzl, l’homme du Congrès sioniste de Bâle de 1897, avait d’abord tenté d’ailleurs de trouver un accord à Paris dans les années 1890 avec le baron de Rothschild, qui gérait depuis les années 1880 une telle entreprise.4

   Le problème sioniste, dit-on, aura exacerbé et réveillé le monde arabe. Nous pensons qu’il peut tout aussi bien - puisque tout est dialectique - conduire à démystifier l’arabo-islamisme du fait de la reconnaissance que ni le judaïsme ni les juifs n’ont disparu, que l’un a généré un Etat dans les lieux mêmes où les Hébreux avaient vécu et que les autres, de par le monde, démontrent une vitalité remarquable, en dépit de leur petit nombre, sans parler de la Shoah laquelle aussi se voulait correspondre à une fin des temps, accompagnant la conquête nazie. Que l’Islam ait jugé bon, au VIIe siècle, de s’en prendre aux Juifs, tant à leur religion qu’à leur terre, à Jérusalem, se conçoit certes dans une telle logique apocalyptique. Mais est-ce que cela fait encore sens de nos jours ?

   Il est clair que si Juifs et Arabes doivent cohabiter, cela ne saurait être sur la base traditionnelle de la dhimitude.5 Il ne saurait être question que les Musulmans continuent à affirmer que le judaïsme est dépassé ou/et que les Juifs n’ont pas de droits d’aînesse sur la Terre de Palestine. On retrouve une problématique d’altérité par rapport à un passé qu’on ne saurait évacuer et qui revient. Il convient que la fièvre impériale retombe et que l’Islam trouve sa place aux côté des autres religions monothéistes et non au dessus ou au delà, et que se produise un certain sevrage comme chez l’enfant qui se croit le centre du monde et qui n’accepte le monde qu’à cette condition. L’Islam doit s’habituer à vivre, en tout cas en Palestine, avec l’idée que les Juifs sont porteurs d’avenir et pas seulement de passé.6

   Le problème des empires ne se réduit pas, on l’a dit, au champ de la conquête de territoires au sens politique du terme ; il y a aussi le territoire religieux, historique mais aussi scientifique. Certains savoirs pléthoriques sont prisonniers, victimes d’un fantasme totalitariste, c’est-à-dire ne connaissent plus leurs limites. Dès lors, leurs rapports avec d’autres savoirs sont biaisés puisqu’ils ne les considèrent pas comme différents mais comme partie d’eux-mêmes ; ils n’existent souvent qu’en pillant, en parasitant les dits savoirs et en ayant perdu conscience de leur propre potentiel.7

   Pour en revenir au monde arabo-musulman, à la lumière d’une théorie générale de l’impérialisme - terme qui dépasse très largement son emploi actuel désignant notamment ce qui émane des USA - la puissance qui est engagée dans un processus impérial se nourrit de ses nouvelles acquisitions, en les pillant, ce qui crée ipso facto un rapport de dépendance par rapport aux dites acquisitions et empêche de développer les ressources propres à la dite puissance, d’où une forme d’aliénation, de confusion identitaire, qui ne peut être compensée que par un discours totalisant, quantitatif plutôt que qualitatif, supposé faire oublier le caractère éclectique de l’ensemble ainsi constitué ainsi qu’ une certaine carence voire une vacuité du noyau central.

Jacques Halbronn
Paris, le 30 août 2004

Notes

1 Cf. nos études sur l’altérité dans le monde arabo-musulman, sur Encyclopaedia Hermetica en ligne. Retour

2 Cf. “Immigration et syndrome de dépossession”, Encyclopaedia Hermetica, rubrique Hypnologica. Retour

3 Cf. notre étude “la Palestine comme théâtre d’une dépossession”, sur Encyclopaedia Hermetica en ligne. Retour

4 Cf. notre ouvrage Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Feyzin, Ed. Ramkat, 2002. Retour

5 Cf. notre étude sur ce sujet, sur Encyclopaedia Hermetica. Retour

6 Cf. notre article “L’espace-temps de l’Autre”, sur Encyclopaedia Hermetica en ligne, rubrique Hypnologica. Retour

7 Cf. “La crise de l’astrologisme” sur Encyclopaedia Hermetica en ligne, rubrique Astrologica. Retour



 

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