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L’autre et les automatismes : vers le préfixe hypno |
La maladie, c’est d’abord, nous semble-t-il, la faillite des automatismes. Notre corps qui devrait fonctionner sans que l’on y pensât devient soudain beaucoup trop présent, il faut s’en préoccuper et c’est d’abord cet inconvénient là qui caractérise la maladie plus encore que la douleur en soi qui n’en serait que le corollaire.
Car la maladie fait scandale tout comme d’ailleurs la grève et d’ailleurs quelque part la maladie, c’est bien le corps qui fait grève. Dans les deux cas, il y a malaise, mal être, mal de vivre. Cela nous gâche la vie que d’avoir à nous soucier de ce qui devrait aller de soi et ne pas demander qu’on s’en inquiète.
Parler de la grève du métro, par exemple, est une expression révélatrice : ce ne sont pas seulement des gens qui arrêtent de travailler mais ce sont les machines dont ils ont la charge, qu’ils conduisent. Car les automatismes, c’est bien évidemment l’affaire, aussi, des machines mais est-ce que tout ce qui est automatique n’est pas machinal ?
Ne pas pouvoir se reposer sur les automatismes qui facilitent notre existence, cela concerne la question de la confiance. Quand on ne peut plus faire confiance à quelqu’un, cela signifie en pratique que l’on doit renoncer à certains automatismes dont cette personne avait la charge, c’est cela le vrai drame.
Nos relations avec autrui sont fondées en grande partie sur des automatismes: utiliser une langue, cela ne signifie-t-il pas que nous comptons sur le fait que l’autre nous comprendra d’emblée ? Si nous commençons à nous demander si c’est vraiment le cas, voilà encore notre capital d'automatismes entamé. Quelqu’un qui entend mal, qui comprend mal, comme l’étranger, celui à qui il faut mettre les points sur les i, nous pose problème et nous fatigue. D’ailleurs, la carence d’automatismes chez autrui - et nous inclurons sous ce terme le corps, la machine, nos divers interlocuteurs - génère un sentiment de lassitude. En fait, nous serions paresseux.
Les maladies psychosomatiques sont en fait des maladies exprimant un problème d’automatisme, c’est la grève du corps, c’est la rupture d’un couple, du fait que l’automate se rebelle, ne veut plus jouer le jeu et se sabote. Car nous devons ménager nos automatismes et ceux qui les assument, sinon il y a risque de désautomatisation, de dérobotisation. Et il nous faut alors perdre beaucoup de temps à veiller sur ce qui devrait aller tout seul, sans qu’on y pense. Il faut mettre alors la main à la pâte et donner un coup de pouce et rien que cela est exaspérant tant cela remet en cause un certain modus vivendi, auquel nous sommes terriblement attachés.
Toute forme de couple est fonction d’automatismes. Il n’y a pas de symétrie dans le couple même s’il y a réciprocité: chacun compte sur l’autre pour se décharger de certaines corvées auxquelles il préfère ne songer que le moins possible. Et c’est pourquoi un couple en crise relève d’une problématique d’automatismes, comporte le risque d’une grève, y compris celle du sexe qui cesse d’être un allant de soi et ce d’autant que le sexe a à voir avec le corps.
Automatisme et inconscient sont, pour nous, une seule et même chose. L’homme est ainsi fait que tout ce qu’il fait tend à s’automatiser, ce qui lui confère de la liberté puisque c’est à cela que sert l’automatisme, à savoir nous libérer de certaines servitudes répétitives.
Il ne faudrait donc pas être surpris de ce que tant d’activités soient devenues inconscientes, relèvent de savoirs qui continuent à fonctionner mais qui n’impliquent pas que nous en soyons conscients et que nous puissions les formuler. Nous ne maîtrisons pas consciemment tous nos savoirs mais cela ne signifie nullement que nous n’en tenions point compte par le truchement de nos automatismes et c’est là un champ très important pour la recherche scientifique que de déterminer ce que nous savons sans le savoir, comme une sorte de science instinctive, inconsciente. Nous ne cessons de déléguer, même quand il s’agit de nos députés, de nos représentants, de nos chefs qui agissent en notre lieu - nos lieutenants - et place.
Dans le cas de l’astrologie, nous avons un exemple remarquable d’une sensibilité à certaines configurations astrales qui ne passe absolument pas par une quelconque connaissance consciente, articulée, de l’astronomie, ce qui rend fous les astronomes.1 Et pourtant cela existe !
On comprendra que tout cela débouche sur un dialogue d’un genre un peu particulier dans la mesure où j’attends avant tout de l’autre qu’il se fasse oublier, ce qui ne signifie nullement qu’il s’absente mais qu’il agisse dans une autre dimension, bref qu’il nous épargne ses difficultés pour nous offrir un peu d’automatisme, d’inconscient, comme par exemple que l’on n’ait pas à préparer le repas, que quelqu’un le fasse à notre place et en cela nous soulage. D’ailleurs, le mot organisme concerne aussi bien le corps humain que le corps social, tout comme le mot membre. Nous aimons sous-traiter vers l’autre, y compris vers cet autre qu’est notre corps et qui doit se débrouiller tout seul sans que l’on ait à intervenir, auquel on se fie.
On peut aussi se fier à Dieu pour qu’il donne sens à ce qui nous arrive, sans que l’on ait trop à y penser, par nous-mêmes; on se décharge sur lui de nos angoisses métaphysiques et la crise de la foi s’apparente quelque part à la crise de foie, c’est-à-dire à un automatisme qui ne donne plus satisfaction et qui se rappelle à notre conscience, le mot n’étant pas pris ici dans le sens de consciencialité.2
Car parler d’inconscient, dans l’abstrait, n’est pas sérieux: tout ce qui est inconscient a un support, même si c’est le fruit de notre imagination sinon de notre ingéniosité et tout ce qui est inconscient a d’abord été conscient, ce que le mot inconscient n’exprime pas assez clairement. Il faudrait pouvoir désigner quelque chose qui n’est plus pour le distinguer de ce qui n’a jamais été comme on ne parle de la mort que s’il y a eu vie. Nous avons d’ailleurs cherché à étendre l’acception du mot mort à ce passage vers l’automatisme, en tant que prolongement de la vie. Pourrait-on parler de la mort de la conscience pour traiter de l’Inconscient ou d’un conscient mort ? Mort ne signifiant pas ici arrêt d’un processus mais le passage de celui-ci sur un autre plan. Telle chose serait morte voudrait dire qu’elle existe mais de façon figée et répétitive, ce qui est au demeurant fort rassurant pour notre liberté. On peut se reposer sur la mort car la mort est une sorte de mise en sommeil. Au fond, pourquoi ne pas employer le mot grec hypnos, qui signifie sommeil - la petite mort, dit-on et c’est d’ailleurs aussi un précieux automatisme perturbé par l’insomnie - pour désigner ce champ des automatismes et dans ce cas parler d’un hypno-conscient plutôt que d’un inconscient ?
Proposons donc d’appeler hypno-science l’étude des automatismes, des phénomènes inconscients. L’astrologie serait ainsi une hypno-science, puisque nous sommes conditionnés, en quelque sorte, hypnotiquement, par un savoir oublié, devenu hypno-conscient, à tenir compte de certaines configurations astrales bien précises qui nous conduisent périodiquement à fonctionner diversement, qui modifient nos tropismes.
Le champ de l’hypno-science est immense, puisqu’il englobe tous les processus d’automatisme. On pourrait parler d’une hypno-éthique pour traiter de nos relations en rapport avec les dits processus, concernant notre corps, notre environnement humain, animal, mécanique, nos hypno-savoirs, tels que les langues dont nous nous servons, les signes que nous décryptons sans le savoir. L’hypno-science concerne aussi bien les mécanismes sis à l’intérieur de nous, tant physiquement que psychiquement, que ceux qui relèvent de la société et qui sont en rapport avec diverses instances qui nous sont indispensables mais dont nous préférons ne pas avoir à y penser.3
Comme c’est généralement le cas, l’hypno-science désigne aussi bien une science qu’un domaine à étudier, comme c’est le cas pour la psychologie, dans la mesure où le domaine est précisément à explorer et à baliser par cette hypno-science que nous entendons fonder et sans laquelle la condition humaine, au sens le plus noble, le plus libre, ne se conçoit pas plus que la démocratie athénienne sans les esclaves qui lui permettaient d’exister. On pourrait donc parler d’hypnologique pour désigner ce dont traite l’hypno-science ou encore l’hypnologie (en abrégé HL).
Ce mot hypnos n’était-il pas en effet sous employé ? Cela n’est d’ailleurs pas un hasard mais est révélateur épistémologiquement. Le sommeil n’est-il pas le fait de basculer dans un automatisme ? Certes, on parle de nos jours de mise en sommeil pour signifier une suspension, un certain ralentissement, mais là encore le sens doit être sensiblement enrichi et désigner ce qui est en voie d’automatisation. Quant à la technique de l’hypnose, que pratiqua Freud à ses débuts, lui si intéressé par les rêves, elle tend à corriger certains de nos automatismes ou à nous fournir des savions sans avoir fait l’effort de les acquérir, comme on peut le voir dans le premier épisode de Matrixw et accessoirement dans le deuxième, on est là dans une pratique d’hypnologisation, c’est-à-dire que l’on dispose d’un savoir qui fonctionne en dehors d’une conscience qui ne serait plus que le sommet de l’iceberg.
Dans le champ de l’hypnologie, nous inclurions également les phénomènes mimétiques, tant il est évident que l’imitation est au coeur de tout automatisme, y compris lorsque l’on s’imite ou se répète soi-même.
On conçoit donc la complexité de nos rapports avec le champ hypnologique, qui parfois, dans ses manifestations aberrantes, s’apparente à des secousses sismiques. On a vu récemment un film intitulé The core (fusion) où l’homme devait intervenir, pour le rétablir dans son mouvement habituel, sur un processus qui jusque là s’était déroulé sans heurt mais qu’il avait perturbé. On voir l’hypnologie est une clef de l’écologie. Car qu’est-ce que l’écologie, sinon la prise en compte du champ hypnologique, de notre environnement à tous les niveaux ? Là encore, force est de constater que le terme revêt actuellement une acception par trop étroite.
Le préfixe hypno - nous semble promis à une certaine fortune, à l’instar d’autres tels que bio-, techno-, judéo-, franco-, anglo-, post-, hyper / super-, infra-, supra-, ethno-4, voire astro-, cosmo-, hétéro-, homo-, ortho-, géo-, socio-, psycho-, électro-, rétro-, anti-, pseudo-, crypto- etc sans parler d’autres plus anciens que l’on utilise sans y penser, donc hypnologiquement comme dé-, en -, pré-, in-, sub-, re-, extra-, inter- etc. Hypno est un préfixe et un concept qui convient idéalement au XXIe siècle. Il est en effet plus que temps que nous prenions conscience de tout ce qui touche à un certain renoncement à la conscience.
Hypno recouvre aussi bien des notions morales comme aider dans la mesure où demander de l’aide correspond à une quête hypnologique. Perdre confiance en quelqu’un constitue un recul hypnologique, puisque nous ne pouvons plus compter sur lui: on pourrait parler d’un traumatisme hypnologique, d’un hypno-trauma, quand l’autre ne nous apporte pas ce que nous en attendions. Nous proposerons hypno-stratégie et hypno-logistique pour désigner des procédures permettant de renforcer le potentiel hypnologique, l’hypno-potentiel d’un individu ou d’une société, c’est-à-dire son aptitude à se décharger d’un certain nombre de tâches sur l’autre, l’immigré, l’esclave, la machine etc. En informatique, l’intelligence artificielle s’inscrit dans ce cadre hypno.
La signification principale de la d’hypno, c’est de provoquer un changement à terme qui soulage l’attention, la pression, la vigilance en les dévoluant à une instance extérieure susceptible de nous remplacer petit à petit dans certaines de nos activités.5
Le champ sémantique associé à hypno recouvre ce que l’on attend, ce qui était promis, prévu, ce sur quoi on (es)comptait normalement de la part d’autrui et donc a contrario en quoi il nous a écus, trompé : les anglais disent disapointed, ce qui évoque quelqu'un que l’on a appointé (l’appointement est un gage - engagement, on donne des gages de sa bonne foi, à qui l’on a assigné une tâche et qui ne s’est pas comporté en conséquence, qui s’y est dérobé - ce qui est synonyme de vol (en anglais robber, le voleur), voire de viol, qui a abusé de nous.
Avec le recours à hypno- en abrégé H - en tant que préfixe, nous entendrons une idée d’évolution, de transformation, de transfert à l’extérieur de nous-même, avec ce que cela peut avoir d’aliénant.6 On peut en effet considéré des états de dépendance à l’égard d’une substance, d’une institution, d’une personne qui peuvent sembler extrêmes voire excessifs, il faudrait alors parler de la nature hypno-relationnelle d’une situation, d’un hypno-rapport qui implique l’existence d’un lien qui à la fois libère et asservit. Le préfixe hypno est en effet fortement marqué par une dualité voire par une ambiguïté puisqu’il implique un changement de conscience par rapport à une donnée particulière qui subit une translation topographique, qui va s’installer ailleurs, dans un autre espace, sans cesser pour autant de fonctionner mais sans recours à la conscience de celui qui cependant est supposé concerné au premier chef, sauf en cas de crise des automatismes. Mais bien entendu7, il peut y avoir rupture de l’hypno-processus, notamment dans le rapport signifiant / signifié social.8 Actuellement, il existe des hypno-fonctions dont on ne contrôle plus la dynamique et qui tendent à nous échapper de façon inquiétante. D’où l’importance d’une certaine hypno-conscience qui est conscience des h-structures de notre h-société.
Autour du concept-préfixe Hypno, s’articule l’idée de transmission, de basculement d’un plan vers une autre, d’une entité vers une autre, d’où une certaine transformation, un certain mouvement: hypno est porteur d’une dynamique, d’une translation d’un niveau à un autre, ce qui peut impliquer tant l’évolution que l’involution, une percée ou un recul. Une hypno-percée consistera en une amélioration de notre confiance en l’autre, une hypno-crise en la déterioration de notre disposition à nous reposer sur lui, c’est à dire de nous poser comme un oiseau sur sa branche (d’où l’expression : couper la branche etc).
L’absence de ce concept voire d’un signifiant équivalent, est révélatrice d’un manque de consciencialité, ce qui peut sembler inquiétant dans un monde où la machine ne cesse de prendre de l’importance, probablement parce qu’elle est plus fiable que le vivant, qu’elle est un serviteur plus zélé, sans surprise, sans risque de déconvenue (qui fait ce qui avait été convenu, qui respecte la convention). L’étranger nous incommode en ce qu’il ignore les conventions tant grammaticales que sociales de notre ethno-culture, il ne réagit pas comme prévu, il peut sur-prendre et il faut tout lui apprendre, lui transmettre, ce qui implique un hypno-investissement, une programmation. L’astrologie incarne bel et bien ce champ sinistré qu’est l’hypno en ce qu’elle traite de l’avenir et des hypno-surprises négatives qu’il pourrait nous réserver, si les choses ne se passaient pas comme prévu mais elle renvoie aussi à des mécanismes qui ont cessé d’être conscients tout en poursuivant de plus belle leur action et c’est ce processus qui est souvent nié au nom de la non-transmission des caractères acquis. Le concept hypno est néo-lamarckien, il implique un certain stockage, l’existence d’un back office, d’un hinterland, d’un arrière-plan.
Hypno est lié à l’idée de plus, dans tous les sens du mot : il implique que je puisse davantage - plus- compter sur l’autre ou inversement que je ne puisse plus le faire, c’est dire qu’il est porteur d’un mouvement vers le haut ou vers le bas, vers plus ou moins de repos - on dit que l’on peut dormir sur ses deux oreilles, qu’on peut y aller les yeux fermés, que cela s’est passé comme de mettre une lettre à la poste - qu’il est instable sinon précaire. La grève est une hypno-crise, notamment quand elle affecte les services publics, c’est Spartacus qui se rebelle contre la condition qui lui est faite et nous sommes tous les Spartacus de quelqu’un (d’où le mouvement spartakiste) qui exploite notre bonne volonté et qui nous écrase à force de se reposer sur nous. En ce sens, le marxisme et sa lutte des classes, son insistance sur le prolétariat, appartient au champ hypno tout comme le freudisme, avec son subconscient.
Dans l’idée d’hypno, il y a donc le sentiment de quelque chose qui nous échappe, qu’on laisse nous échapper, quitte à le regretter et à vouloir se le réapproprier, il y a une dépossession de l’être et une croissance de l’avoir, de ce sur quoi nous comptons mais que nous surveillons le moins possible: notre corps, notre cerveau, nos machines, bref autrui. La question est de savoir comment gérer nos hypno-relations, comment les optimaliser ; on est bien loin, avouons-le, de l’idée d’égalité car pour hypno, l’autre est voué à terme à nous décharger, à un niveau ou à un autre, la légitimité de l’autre passe par la confiance que nous lui accordons mais il peut en abuser tout comme nous pouvons abuser de sa disposition à assumer celle-ci, ce qui implique des contreparties, un salaire - les domestiques reçoivent des gages, on s’engage chez quelqu’un et pas seulement par rapport à lui - sous une forme ou sous une autre.
Ce qu’on appelle le charisme est certainement lié à une certaine hypno-capacité - qui n’est pas exempte d’ailleurs d’un certain pouvoir hypnotique - et qui implique le sens de la délégation, de courroie de transmission, du relais voire de la retraite, de la démission, de la dépossession mais plus l’on donne, plus l’on trouve à donner, c’est à dire à employer sinon à exploiter, conférant ainsi à chacun un rôle, une fonction. L’hypno-pouvoir est l’essence même du génie humain, sa capacité à instrumentaliser, à enrichir, voire à créer son environnement. Il n’est pas d’autorité sans que l’on soit hypno-auteur / acteur de nouveaux liens.
Jacques Halbronn
Paris, le 29 mai 2003
Notes
1 Cf. notre article Le débat entre astronomes et astrologues, sur le Site Ramkat.free.fr, rubrique Astrologica. Retour
2 Cf. nos étude à ce sujet, sur le Site Ramkat.free.fr. Retour
3 Cf. notre étude science, conscience, inconscience sur le Site Faculte-anthropologie.fr. Retour
4 Cf. notre étude sur divination et ethno-savoir sur le Site Faculte-anthropologie.fr. Retour
5 Cf. la notion de tselem sur le Site Ramkat.free.fr, rubrique Xenica. Retour
6 Cf. notre Eloge des automatismes in collectif Eloges de la souffrance, de l’erreur et du péché, Paris, Ed. Le Lierre et le Coudrier, 1990. Retour
7 Cf. notre étude sur le film Matrix, sur le Site Faculte-anthropologie.fr et sur le Site Ramkat.free.fr, rubrique Prophetica. Retour
8 Cf. nos études sur ce sujet, sur le Site Ramkat.free.fr, rubriques Judaica et Xenica. Retour
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